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Critique de Alfaric
Dans ce tome 7 les intrigues vont bon train entre les écoles martiales de l'Esprit Surnaturel du Milieu, du Venin de l'Ouest, de l'Hérétique de l'Est, du Mendiant du Nord et de l'Empereur du Sud au sujet du Sutra des Neuf Ténèbres, pour le protéger, pour s'en emparer ou pour le détruire !
Kung-fu sans conscience n'est que ruine de l'âme : Vieux Gamin Espiègle a juré à son maître mourant qu'aucune âme impure ne déchiffrerait les secrets du Sutra des Neuf Ténèbres, et s'en ainsi qu'il s'en enfuit avec la moitié du livre tant convoité, mais en rencontrant Guo Jing qui en possède l'autre moitié il est plus que jamais soumis à la tentation. Parce que l'avatar du Héros aux mille et un visages n'est que courage et bonté, altruisme et générosité, il décide de lui enseigner à l'insu de son plein les ultimes arcanes du monde des arts martiaux et ce faisant il les assimile également... Alors qu'un nouveau grand tournoi est organisé pour désigner l'homme le plus fort du monde, Guo Jing et Vieux Gamin Espiègle sont désormais recherchés par tous les artistes martiaux de l'Empire du Milieu à commencer par le Venin de l'Ouest et son venimeux neveu Ouyang Ke. Mais le Destin n'a-t-il pas conspiré pour l'amener étape après étape à être celui qui unifiera le monde des arts martiaux ? (remember Luke Skywalker réunifiant les deux côté de la Force à la fin du "Retour du Jedi" ^^). Et pendant ce temps-là, l'hiver vient et la tempête mongole venue du Nord s'abat sur les 16 provinces du Royaume Jin. Dans la capitale assiégée de Pékin, c'est à travers la personne du prince Wayan Honglie que l'Empire contre-attaque...
Depuis pas mal de chapitres le côté art martiaux a largement pris le pas sur le côté historique, mais ici on tombe carrément et joliment dans le conte de fées : l'Hérétique de l'Est veut unifier le monde des arts martiaux en mariant sa fille Rong à Ouyang Ke le neveu du Venin de l'Ouest, mais le Mendiant du Nord vient plaider sur l'île merveilleuse la cause de ses disciples. le père impose ainsi à notre héros 3 épreuves dont il pense qu'il ne pourra sortir vainqueur : une épreuve d'agilité et d'adresse, une épreuve de musique et une épreuve de mémoire, mais le Destin a fait en sorte que Guo Jing soit armé pour triompher malgré l'adversité qui a pipé les dés... J'ai d'autant plus adoré que les dessins sont d'un très haut niveau avec des planches qui pètent une classe de ouf avec tous ses combats musicaux rhââ lovely. Malheureusement ça jump the shark sur la fin avec l'attaque du banc de requins, l'attaque de la nuée des serpents et les chantages à répétition du Venin de l'Ouest (ah lui, c'est un vrai bon méchant ^^). Et c'est aussi avec ce tome que je m'aperçoit que le mangaka Masami Kuramada et le réalisateur Stephen Chow ont eux aussi largement puisé dans la saga culte qu'est "La Légende du héros chasseur d'aigles" (ceux qui liront et verront sauront ^^) !
Kung-fu sans conscience n'est que ruine de l'âme : Vieux Gamin Espiègle a juré à son maître mourant qu'aucune âme impure ne déchiffrerait les secrets du Sutra des Neuf Ténèbres, et s'en ainsi qu'il s'en enfuit avec la moitié du livre tant convoité, mais en rencontrant Guo Jing qui en possède l'autre moitié il est plus que jamais soumis à la tentation. Parce que l'avatar du Héros aux mille et un visages n'est que courage et bonté, altruisme et générosité, il décide de lui enseigner à l'insu de son plein les ultimes arcanes du monde des arts martiaux et ce faisant il les assimile également... Alors qu'un nouveau grand tournoi est organisé pour désigner l'homme le plus fort du monde, Guo Jing et Vieux Gamin Espiègle sont désormais recherchés par tous les artistes martiaux de l'Empire du Milieu à commencer par le Venin de l'Ouest et son venimeux neveu Ouyang Ke. Mais le Destin n'a-t-il pas conspiré pour l'amener étape après étape à être celui qui unifiera le monde des arts martiaux ? (remember Luke Skywalker réunifiant les deux côté de la Force à la fin du "Retour du Jedi" ^^). Et pendant ce temps-là, l'hiver vient et la tempête mongole venue du Nord s'abat sur les 16 provinces du Royaume Jin. Dans la capitale assiégée de Pékin, c'est à travers la personne du prince Wayan Honglie que l'Empire contre-attaque...
Depuis pas mal de chapitres le côté art martiaux a largement pris le pas sur le côté historique, mais ici on tombe carrément et joliment dans le conte de fées : l'Hérétique de l'Est veut unifier le monde des arts martiaux en mariant sa fille Rong à Ouyang Ke le neveu du Venin de l'Ouest, mais le Mendiant du Nord vient plaider sur l'île merveilleuse la cause de ses disciples. le père impose ainsi à notre héros 3 épreuves dont il pense qu'il ne pourra sortir vainqueur : une épreuve d'agilité et d'adresse, une épreuve de musique et une épreuve de mémoire, mais le Destin a fait en sorte que Guo Jing soit armé pour triompher malgré l'adversité qui a pipé les dés... J'ai d'autant plus adoré que les dessins sont d'un très haut niveau avec des planches qui pètent une classe de ouf avec tous ses combats musicaux rhââ lovely. Malheureusement ça jump the shark sur la fin avec l'attaque du banc de requins, l'attaque de la nuée des serpents et les chantages à répétition du Venin de l'Ouest (ah lui, c'est un vrai bon méchant ^^). Et c'est aussi avec ce tome que je m'aperçoit que le mangaka Masami Kuramada et le réalisateur Stephen Chow ont eux aussi largement puisé dans la saga culte qu'est "La Légende du héros chasseur d'aigles" (ceux qui liront et verront sauront ^^) !
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