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Critique de Alfaric


Dans ce tome 16, c'est tout la team Thorfinn qui est mise à contribution pour rejoindre l'opulente Constantinople à l'opposé du Vinland occidental où il veulent fonder un pays de paix, sans haine ni violence, ni mépris ni indifférence, loin de la guerre et de l'esclavage…
Mais les tuiles s'enchaînent : récupération de Gudrid au Groenland qui a poignardé son mari lors de sa nuit de noce avant de fuguer, ce qui leur vaut l'inimitié de Sigurd qui part à leur poursuite, récupération d'un vieux chien et d'un jeune nourrisson aux Îles Shetland, derniers survivants d'une vendetta entre deux clans, ce qui leur vaut l'inimité de la famille Gisli qui veut finir le job, rencontre d'un ours affamé près de la ville de Bergen en Norvège, qui les amène à faire la connaissance de la redoutable traqueuse Hild au coeur lourd… Car Thorfinn doit finalement faire face à ses pires craintes : être confronté aux crimes de son passé, dont Hild fait malheureusement partie… Est la colère ou le pardon qui va l'emporter ? le cliffhanger de fin est terrible : vite la suite !!!

PS1: mention spéciale pour le petit Karli qui oblige la fine équipe à se poser beaucoup de question sur la vie, la mort, les mystères de l'enfantement et plus encore les mystères du fonctionnement du corps féminin… mdr

PS2: la fin du tome a comme des airs de "Golden Kamui", et c’est normal puisque que le mangaka fait un parallèle entre Islandais, Amérindiens et Aïnous !
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