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Critique de Roberte53
Ce roman nous plonge dans les tréfonds de la pègre parisienne des années soixante-dix, quand la police flirtait dangereusement avec les truands, les malfrats et les trafiquants de tous bords. Sous la plume talentueuse d'Eric Yung, le mythique « 36, quai des Orfèvres » reprend du service dans les locaux rustiques de la police judiciaire où les odeurs de tabac se mêlent aux effluves de bière et de sandwichs, livrés par la brasserie Dauphine.
L'ambiance est là et le décor est planté. Constitué de faits réels, vécus par le romancier, le récit raconte l'histoire d'un jeune policier, plein de fougue à ses débuts, qui va très vite déchanter et voir ses convictions s'effriter au cours de sa carrière. En effet, face à la duplicité de certains supérieurs corrompus et mêlés au plus grand scandale politique d'Etat de l'époque, son esprit rebelle, sa franchise et son intégrité sans faille entraîneront inéluctablement sa chute.
Le lecteur reste en équilibre instable, au fil des pages, jusqu'à basculer dans la sombre réalité des compromissions de l'appareil politico-judiciaire atteignant, parfois, les plus hauts responsables de l'Etat !
L'ambiance est là et le décor est planté. Constitué de faits réels, vécus par le romancier, le récit raconte l'histoire d'un jeune policier, plein de fougue à ses débuts, qui va très vite déchanter et voir ses convictions s'effriter au cours de sa carrière. En effet, face à la duplicité de certains supérieurs corrompus et mêlés au plus grand scandale politique d'Etat de l'époque, son esprit rebelle, sa franchise et son intégrité sans faille entraîneront inéluctablement sa chute.
Le lecteur reste en équilibre instable, au fil des pages, jusqu'à basculer dans la sombre réalité des compromissions de l'appareil politico-judiciaire atteignant, parfois, les plus hauts responsables de l'Etat !
