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Critique de Kio971
Alors qu'ils cherchent à résoudre le meurtre d'un riche propriétaire de yacht retrouvé pendu à un lampadaire dans la région de Calais, la piste mène nos deux enquêteurs jusqu'en Guadeloupe.
Karukera Gang est un court - pas même 200 pages - polar qui a le mérite de nous faire sortir des banlieues glauques des grandes villes.
Mais, si le livre est indéniablement sympathique et convient parfaitement pour une lecture d'après-midi à la plage, je l'ai quand même trouvé trop court : nos enquêteurs résolvent rapidement l'énigme et les coupables avouent aussi facilement et aussi vite qu'un enfant de six ans qui a fini en douce le pot de pâte à tartiner.
On aurait aimé que Gaston Zangerle nous offre une intrigue plus solide, avec plus de suspense et de rebondissements. Caraïbeditions a cherché également à s'inspirer pour sa couverture des codes couleur de la Série Noire, mais on est loin - très loin ! - de la qualité des oeuvres publiées dans cette dernière.
Au final, une lecture gentillette qui vaut plus pour le dépaysement qu'elle propose - aux lecteurs comme aux enquêteurs qui laissent l'Hexagone en plein hiver pour la Guadeloupe et ses tenues estivales 365 jours par an - que pour le mystère du récit.
A lire, si à l'occasion le livre vous passe entre les mains.
Karukera Gang est un court - pas même 200 pages - polar qui a le mérite de nous faire sortir des banlieues glauques des grandes villes.
Mais, si le livre est indéniablement sympathique et convient parfaitement pour une lecture d'après-midi à la plage, je l'ai quand même trouvé trop court : nos enquêteurs résolvent rapidement l'énigme et les coupables avouent aussi facilement et aussi vite qu'un enfant de six ans qui a fini en douce le pot de pâte à tartiner.
On aurait aimé que Gaston Zangerle nous offre une intrigue plus solide, avec plus de suspense et de rebondissements. Caraïbeditions a cherché également à s'inspirer pour sa couverture des codes couleur de la Série Noire, mais on est loin - très loin ! - de la qualité des oeuvres publiées dans cette dernière.
Au final, une lecture gentillette qui vaut plus pour le dépaysement qu'elle propose - aux lecteurs comme aux enquêteurs qui laissent l'Hexagone en plein hiver pour la Guadeloupe et ses tenues estivales 365 jours par an - que pour le mystère du récit.
A lire, si à l'occasion le livre vous passe entre les mains.
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