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Critique de Nathv


Rentrée littéraire #11

J'avais découvert Nicolas Zeimet avec "Seuls les vautours" et, ensuite, avec "Comme une ombre dans la ville" (Retour à Duncan's Creek attendant encore désespérément un moment de libre afin de le sortir de ma haute montagne de livres à lire) et suis ravie de le retrouver avec "Les enfants de Lazare".

J'adore les références de cet auteur: déjà dans "Seuls les vautours", Nicolas Zeimet citait un de mes films cultes ("The Outsiders") alors que dire quand, dans ce livre-ci, il invoque Raymond Moody et son ouvrage "La vie après la vie" - à croire que, vers 16-18 ans, j'ai, comme Agathe - l'un des personnages principaux du récit - eu une période ésotérique dans ma vie… bon sans mèche bleue (ni verte d'ailleurs).

C'est donc l'histoire de Pierre, journaliste reporter d'images, appelé à couvrir un sordide fait divers - une jeune femme s'est suicidée en se jetant de la Tour Eiffel - et qui, arrivant sur les lieux, se rend compte qu'il la connaît. Il s'agit d'Agathe, jeune artiste rencontrée par hasard et dont il est immédiatement tombé amoureux. Agathe est d'origine cambodgienne, tout comme ce petit garçon à l'autre bout du monde dont l'incroyable résurrection interpelle Pierre. le journaliste est persuadé que les deux affaires sont liées et part, sur un coup de tête, dans ce pays d'Asie du Sud-Est. S'en suit une enquête prenante, au rythme soutenu et aux rebondissements multiples.

L'écriture de Nicolas Zeimet est source de réflexion (d'une part, sur les NDE et, d'autre part, sur la situation au Cambodge - la liberté de la presse, la corruption et les réseaux d'adoption), prenante et littéralement addictive.

Je remercie les éditions Jigal Polar et Babelio de m'avoir fait découvrir ce roman.

Dès ma sélection rentrée littéraire septembre 2018 achevée, c'est sûr, je me plongerai dans "Retour à Duncan's Creek".

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