L'araignée mangerait bien un papillon bien gras, mais affamée elle est prête à se contenter d'un moustique.
L'oiseau mangerait bien un vermisseau bien gras, mais affamé il est prêt à se contenter d'une araignée, etc...
Une histoire à répétition dans le monde cruel de la chaîne alimentaire. Mais dans les histoires du
Père Castor, ce n'est pas forcément le plus fort qui gagne à la fin !
Réjouissant.
Commenter  J’apprécie         30