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Critique de Colibrille
Je ne vais pas vous faire un résumé de l'histoire, le titre est à mon sens suffisamment éloquent. J'aimerais plutôt vous dire pourquoi j'ai tant aimé cette BD. Il n'est pas toujours évident d'expliquer le "pourquoi", mais je vais faire de mon mieux !
Lorsqu'on choisit une bande dessinée, il faut bien avouer que notre décision repose avant tout sur les dessins, quand bien même on sait toute l'importance du scénario. J'avoue que c'est d'abord le graphisme d'Arno Monin qui m'a incitée à lire "L'adoption". Dès la couverture, j'ai été séduite par la douceur du trait et la colorisation lumineuse. Alors que je n'avais seulement qu'une vague idée de l'histoire, je me suis sentie émue en regardant cette couverture. Le face à face silencieux entre cette petite fille et ce vieil homme a quelque chose de touchant. Taille, âge, origines... Tout semble les opposer mais on sait, on sent qu'un lien va les unir.
Arno Monin croque ses personnages avec une tendresse et une bienveillance qui nous les rendent tout de suite sympathiques. On se prend bien sûr d'affection pour la jolie et timide Quinaya, mais pour son grand-père, grand bourru au cœur tendre, ses amis G et G etc. Les expressions faciales des personnages sont particulièrement réussies, tout comme les arrières-plans et décors, très soignés.
Les dessins ne seraient pas aussi beaux sans leur colorisation, délicate et lumineuse. J'ai trouvé que les couleurs rayonnaient véritablement et s'accordaient à merveille avec l'histoire.
Vous l'aurez compris, je suis tombée sous le charme des dessins. Mais j'ai tout autant aimé l'intrigue. Zidrou nous régale d'un texte chargé d'humour, un peu à la Lupano dans "Les vieux fourneaux". La fin se pare d'un voile dramatique et laisse présager une suite chargée d'émotions. Vivement que le second tome paraisse !
Lorsqu'on choisit une bande dessinée, il faut bien avouer que notre décision repose avant tout sur les dessins, quand bien même on sait toute l'importance du scénario. J'avoue que c'est d'abord le graphisme d'Arno Monin qui m'a incitée à lire "L'adoption". Dès la couverture, j'ai été séduite par la douceur du trait et la colorisation lumineuse. Alors que je n'avais seulement qu'une vague idée de l'histoire, je me suis sentie émue en regardant cette couverture. Le face à face silencieux entre cette petite fille et ce vieil homme a quelque chose de touchant. Taille, âge, origines... Tout semble les opposer mais on sait, on sent qu'un lien va les unir.
Arno Monin croque ses personnages avec une tendresse et une bienveillance qui nous les rendent tout de suite sympathiques. On se prend bien sûr d'affection pour la jolie et timide Quinaya, mais pour son grand-père, grand bourru au cœur tendre, ses amis G et G etc. Les expressions faciales des personnages sont particulièrement réussies, tout comme les arrières-plans et décors, très soignés.
Les dessins ne seraient pas aussi beaux sans leur colorisation, délicate et lumineuse. J'ai trouvé que les couleurs rayonnaient véritablement et s'accordaient à merveille avec l'histoire.
Vous l'aurez compris, je suis tombée sous le charme des dessins. Mais j'ai tout autant aimé l'intrigue. Zidrou nous régale d'un texte chargé d'humour, un peu à la Lupano dans "Les vieux fourneaux". La fin se pare d'un voile dramatique et laisse présager une suite chargée d'émotions. Vivement que le second tome paraisse !
