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Critique de cilijoya
Une nouvelle BD de Zidrou, c'est toujours une bonne nouvelle pour moi. Et ça se confirme, c'est à nouveau un coup de coeur.
Tout commence à Arequipa, au Pérou, lorsqu'un gros tremblement de terre fait + de 37 000 morts. C'est suite à cet événement que Gabriel et Maryse, un couple de retraités, voient débarquer dans leur vie la petite Qinaya. Alain, leur fils, et Lynette, sa femme, n'ont jamais pu avoir d'enfant et arrivent un beau matin d'avril avec cette petite fille dans les bras. Qinaya a 4 ans lorsqu'elle arrive en France, elle va devoir tout apprendre de sa nouvelle vie : une nouvelle langue, de nouveaux parents, une nouvelle place à se faire dans une famille... Gabriel lui n'est pas forcément enchanté au départ de cette nouvelle venue. Et puis, petit à petit, le charme de Qinaya fait effet, elle est attachante cette petite qui lui grimpe sur les épaules au tour de France, qui répète les gros mots qu'il prononce avec ses copains, qui lui fait de beaux dessins et qui la suit partout en vélo. Elle est vraiment attendrissante cette petite fille dont le doudou ou le vélo n'est jamais très loin. Et puis...et puis arrivent les dernières pages, inattendues, surprenantes.
C'est un album débordant de tendresse et aussi plein de petites touches d'humour. Certaines répliques sont vraiment drôles. C'est léger et pourtant des sujets assez profonds y sont abordés avec justesse. Que ce soit les difficultés de l'adoption et de tout ce qu'il y a à (re)construire, les relations qu'on sent compliquées entre Alain et son père... Pour finir, gros coup de coeur pour le trait et les couleurs d'Arno Monin qui participent grandement à la tendresse de cet album, tout aussi beau à lire qu'à regarder. Vivement le tome 2.
La musique qui m'a accompagnée dans ma lecture, les voix envoutantes des jumelles d'Ibeyi : ♪♫ https://www.youtube.com/watch?v=88U_dMhhfNI ♪♫
Tout commence à Arequipa, au Pérou, lorsqu'un gros tremblement de terre fait + de 37 000 morts. C'est suite à cet événement que Gabriel et Maryse, un couple de retraités, voient débarquer dans leur vie la petite Qinaya. Alain, leur fils, et Lynette, sa femme, n'ont jamais pu avoir d'enfant et arrivent un beau matin d'avril avec cette petite fille dans les bras. Qinaya a 4 ans lorsqu'elle arrive en France, elle va devoir tout apprendre de sa nouvelle vie : une nouvelle langue, de nouveaux parents, une nouvelle place à se faire dans une famille... Gabriel lui n'est pas forcément enchanté au départ de cette nouvelle venue. Et puis, petit à petit, le charme de Qinaya fait effet, elle est attachante cette petite qui lui grimpe sur les épaules au tour de France, qui répète les gros mots qu'il prononce avec ses copains, qui lui fait de beaux dessins et qui la suit partout en vélo. Elle est vraiment attendrissante cette petite fille dont le doudou ou le vélo n'est jamais très loin. Et puis...et puis arrivent les dernières pages, inattendues, surprenantes.
C'est un album débordant de tendresse et aussi plein de petites touches d'humour. Certaines répliques sont vraiment drôles. C'est léger et pourtant des sujets assez profonds y sont abordés avec justesse. Que ce soit les difficultés de l'adoption et de tout ce qu'il y a à (re)construire, les relations qu'on sent compliquées entre Alain et son père... Pour finir, gros coup de coeur pour le trait et les couleurs d'Arno Monin qui participent grandement à la tendresse de cet album, tout aussi beau à lire qu'à regarder. Vivement le tome 2.
La musique qui m'a accompagnée dans ma lecture, les voix envoutantes des jumelles d'Ibeyi : ♪♫ https://www.youtube.com/watch?v=88U_dMhhfNI ♪♫
