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Critique de Pantasiya
Cette bande dessinée, publiée en avril 2018, a surtout retenue mon attention par le nom de l'auteure, N. M. Zimmermann (Naïma Murail de son prénom), dont j'avais grandement apprécié la série de romans « Eden City », qui présente de façon mystérieuse et dramatique un scénario plongeant le lecteur dans la vie captivante de créatures mythiques… C'est donc ce à quoi je m'attendais ici avec « Les détectives du surnaturel ». Ce fut une erreur… pour l'aspect « captivant », notamment.
Les deux personnages principaux, appartenant à une agence de détectives du surnaturel, n'ont pas réussi à m'être sympathiques : constamment en opposition, ils se critiquent l'un l'autre d'un bout à l'autre du livre. le personnage féminin aborde un lapin (réel et ordinaire) comme animal de compagnie l'accompagnant dans son travail… choix plutôt douteux pour une enquête de terrain sur un prédateur de type canin. L'explication de cette singularité réside sans doute dans la mention, sur le site de bedetheque.com, que N.M. Zimmermann « partage son appartement avec deux lapins-garous et un être dont elle est presque certaine qu'il s'agit d'un extraterrestre en costume de chat »…
Sans doute que des jeunes lecteurs de 8 à 10 ans pourraient juger ce livre plus favorablement, puisque l'histoire simple et très facile à suivre semble tout à fait appropriée pour les enfants affectionnant un récit d'enquête avec un degré minimum de mystère et de frayeur. L'enquête mène à une conclusion en queue de poisson, où il semblerait qu'on ne saura jamais le fin mot de l'histoire.
Les deux personnages principaux, appartenant à une agence de détectives du surnaturel, n'ont pas réussi à m'être sympathiques : constamment en opposition, ils se critiquent l'un l'autre d'un bout à l'autre du livre. le personnage féminin aborde un lapin (réel et ordinaire) comme animal de compagnie l'accompagnant dans son travail… choix plutôt douteux pour une enquête de terrain sur un prédateur de type canin. L'explication de cette singularité réside sans doute dans la mention, sur le site de bedetheque.com, que N.M. Zimmermann « partage son appartement avec deux lapins-garous et un être dont elle est presque certaine qu'il s'agit d'un extraterrestre en costume de chat »…
Sans doute que des jeunes lecteurs de 8 à 10 ans pourraient juger ce livre plus favorablement, puisque l'histoire simple et très facile à suivre semble tout à fait appropriée pour les enfants affectionnant un récit d'enquête avec un degré minimum de mystère et de frayeur. L'enquête mène à une conclusion en queue de poisson, où il semblerait qu'on ne saura jamais le fin mot de l'histoire.
