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Critique de Roberte53
Les 480 photographies en noir et blanc qui illustrent ce magnifique album ont été choisies et présentées par François-Emile Zola, le petit fils de l'écrivain. La grande majorité de ces clichés, inédits pour la plupart, ont été pris par Emile Zola en personne. Ouvert au modernisme et passionné par toutes les technologies nouvelles, ce fut le maire de Royan qui l'initia à la photographie, au cours de vacances estivales insouciantes durant lesquelles il eut la révélation de son amour pour Jeanne Rozerot.
C'est alors que débute son travail de photographe en fixant sur la pellicule des instants de vie volés au temps. L'album s'ouvre sur le village de Médan, sa maison et le parc, la domesticité, son cheval Bonhomme et ses chiens, notamment son préféré, le loulou Pinpin ; ses fidèles amis qu'il accueillait auprès de sa femme Alexandrine. Nous suivons ensuite un petit chemin de terre qu'il parcourait à vélo pour aller visiter Jeanne et ses deux enfants dans la maison qu'il leur avait loué à Verneuil.
Toutes les étapes importantes de l'existence d'Emile Zola passent ainsi devant nos yeux, on pourrait presque en faire un film… le voyage en Italie, l'exil en Angleterre, Paris et l'exposition de 1900 puis viennent de nombreux portraits de ses deux chères femmes, de ses enfants et de lui-même à différentes époques de sa vie. Sur la plupart des clichés on ne voit aucun sourire, il transparaît au contraire une certaine tristesse ou dureté dans les traits des visages, surtout ceux des adultes, et les regards sont bien souvent pensifs ou mélancoliques. Je ne me l'explique pas, peut-être est-ce une question de tempérament ou de personnalité ?
C'est alors que débute son travail de photographe en fixant sur la pellicule des instants de vie volés au temps. L'album s'ouvre sur le village de Médan, sa maison et le parc, la domesticité, son cheval Bonhomme et ses chiens, notamment son préféré, le loulou Pinpin ; ses fidèles amis qu'il accueillait auprès de sa femme Alexandrine. Nous suivons ensuite un petit chemin de terre qu'il parcourait à vélo pour aller visiter Jeanne et ses deux enfants dans la maison qu'il leur avait loué à Verneuil.
Toutes les étapes importantes de l'existence d'Emile Zola passent ainsi devant nos yeux, on pourrait presque en faire un film… le voyage en Italie, l'exil en Angleterre, Paris et l'exposition de 1900 puis viennent de nombreux portraits de ses deux chères femmes, de ses enfants et de lui-même à différentes époques de sa vie. Sur la plupart des clichés on ne voit aucun sourire, il transparaît au contraire une certaine tristesse ou dureté dans les traits des visages, surtout ceux des adultes, et les regards sont bien souvent pensifs ou mélancoliques. Je ne me l'explique pas, peut-être est-ce une question de tempérament ou de personnalité ?
