Je tire un certain malaise de cette lecture, contrairement à Étienne, je n'ai pas d'espoir face à cette classe défavorisé.
Zola, après des longues recherches, nous décrit avec précision l'univers des mineurs: sombre, malade, laid, froid, violent, ... désolant. Mon imaginaire m'a poussé vers ce Nord lourd, où malgré toute cette souffrance, les mineurs réussissaient à sourire. Quelle force de caractère : être capable de survivre et de trouver un peu de bonheur dans cette univers. Je ne sais pas si je serais en mesure de sourire ainsi.
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