La question tombe à pic alors que l'on nous promet des hivers difficiles. le grand mérite de cette contribution collective est d'aborder des besoins fondamentaux (logement, santé, éducation, alimentation, travail, loisirs) en privilégiant un angle écologique et social.
Le bouleversement climatique devrait infléchir toutes les politiques vers un mieux-vivre ensemble; les demandes individuelles doivent aboutir à des réponses collectives. Il est grand temps que les institutions se réinventent sous peine d'ancrer un sentiment de défiance à leur égard.
Les économistes atterrés dressent un état des lieux (franco-centré) et proposent ensuite des alternatives au capitalisme nourrisseur de fantasmes inutiles et onéreux.
Pas de littérature : des faits, des chiffres, des propositions, pour consommer, produire et vivre autrement. Ni théories fumeuses, ni plan sur la comète, le bon sens prévaut, curieusement absent chez nos gouvernants. Insensé !
Déterminer nos besoins réels ou les déterminer réellement constitue une orientation vitale dans un monde déboussolé.
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