Où l'on découvre toute la sensibilité du peintre, ses doutes, ses espoirs, ses sources d'inspiration... l'extrême dénuement dans lequel il était parfois, pour ne pas dire le plus souvent, et sa profonde mélancolie l'amenant peu à peu jusqu'à la mort.
Dieu qu'il l'aimait "cette sale peinture" !
Une merveille d'humanité.
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