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Critique de Eugras1364
Par où commencer ?
Premièrement, par des remerciements je pense.
Merci à mon père de continuer à me faire découvrir des classiques de la SF.
Mes sincères remerciements à l'auteur pour avoir postfacé son premier roman dans cet intégral.
En effet, arrivée au bout de ce premier sur trois roman du Cycle du non-A regroupé dans cet intégral, la première question que je me suis posée c'est « qu'est-ce-que je viens de lire ? J'aime bien mais je n'ai rien compris ». Puis, j'ai lu la postface, et enfin, j'ai relu le premier roman. Et là, j'ai compris, et franchement, c'était mieux quand même !
Passé les premières incompréhensions, les doutes, l'impression de ne plus comprendre le français, ces romans se lisent très bien. Il faut évidemment et intentionnellement ne pas remarquer quelques absurdités scientifiques mais il faut se rappeler que le roman a été écrit en 1945 et que surtout, quand je lis de la SF, n'étant pas scientifique moi-même, je n'accorde que très peu d'importance à ce qui pourrait ou pas être véridique. J'essaie juste de passer un moment de lecture sympa en faisant abstraction de comment fonctionne les technologies futuristes et plutôt me laisser imprégnée par le résultat.
J'avais déjà eu l'occasion de lire deux autres cours roman de van Vogt et j'ai retrouvé avec plaisir la plume de l'auteur qui ne laisse aucun répit, aucun temps mort dans ces récits. Il n'est pas là pour meubler, il est là pour raconter une histoire. Aussi, le style peut sembler très hachés à certains, moi au contraire il me plait. Il oblige le lecteur à suivre, à ne pas se laisser déconcentrer. Si par malheur on saute un paragraphe, on peut tout à fait se retrouver sur une autre planète dans une action totalement différente.
Le concept entier de ces romans (une fois que j'ai compris un peu de quoi il s'agissait) m'a beaucoup plus. C'est très agréable de lire quelque chose d'original et de si bien approfondi. On va de rebondissement en rebondissement, en se posant les mêmes questions que le personnage principal. Chaque « type » de société est caricaturé à son extrême pour mettre en avant des déviances de divers régimes poussés à leurs paroxysmes et puis, il y a Vénus aussi.
Dans cette critique, j'ai plutôt donné mon ressenti que proposé un résumé. Ces romans sont difficilement résumables aussi ai-je choisi la facilité. Pour conclure, j'ai passé plus d'un mois a apprécié les aventures d'un certain Gilbert Gosseyn, ça n'a pas toujours été facile de le suivre mais au final, c'était une lecture riche, originale, haute en couleur, très enrichissante et qui pousse à la réflexion. Une réflexion plus profonde que juste gratter la surface et cela fait longtemps que ça ne m'était pas arrivé avec un livre.
Premièrement, par des remerciements je pense.
Merci à mon père de continuer à me faire découvrir des classiques de la SF.
Mes sincères remerciements à l'auteur pour avoir postfacé son premier roman dans cet intégral.
En effet, arrivée au bout de ce premier sur trois roman du Cycle du non-A regroupé dans cet intégral, la première question que je me suis posée c'est « qu'est-ce-que je viens de lire ? J'aime bien mais je n'ai rien compris ». Puis, j'ai lu la postface, et enfin, j'ai relu le premier roman. Et là, j'ai compris, et franchement, c'était mieux quand même !
Passé les premières incompréhensions, les doutes, l'impression de ne plus comprendre le français, ces romans se lisent très bien. Il faut évidemment et intentionnellement ne pas remarquer quelques absurdités scientifiques mais il faut se rappeler que le roman a été écrit en 1945 et que surtout, quand je lis de la SF, n'étant pas scientifique moi-même, je n'accorde que très peu d'importance à ce qui pourrait ou pas être véridique. J'essaie juste de passer un moment de lecture sympa en faisant abstraction de comment fonctionne les technologies futuristes et plutôt me laisser imprégnée par le résultat.
J'avais déjà eu l'occasion de lire deux autres cours roman de van Vogt et j'ai retrouvé avec plaisir la plume de l'auteur qui ne laisse aucun répit, aucun temps mort dans ces récits. Il n'est pas là pour meubler, il est là pour raconter une histoire. Aussi, le style peut sembler très hachés à certains, moi au contraire il me plait. Il oblige le lecteur à suivre, à ne pas se laisser déconcentrer. Si par malheur on saute un paragraphe, on peut tout à fait se retrouver sur une autre planète dans une action totalement différente.
Le concept entier de ces romans (une fois que j'ai compris un peu de quoi il s'agissait) m'a beaucoup plus. C'est très agréable de lire quelque chose d'original et de si bien approfondi. On va de rebondissement en rebondissement, en se posant les mêmes questions que le personnage principal. Chaque « type » de société est caricaturé à son extrême pour mettre en avant des déviances de divers régimes poussés à leurs paroxysmes et puis, il y a Vénus aussi.
Dans cette critique, j'ai plutôt donné mon ressenti que proposé un résumé. Ces romans sont difficilement résumables aussi ai-je choisi la facilité. Pour conclure, j'ai passé plus d'un mois a apprécié les aventures d'un certain Gilbert Gosseyn, ça n'a pas toujours été facile de le suivre mais au final, c'était une lecture riche, originale, haute en couleur, très enrichissante et qui pousse à la réflexion. Une réflexion plus profonde que juste gratter la surface et cela fait longtemps que ça ne m'était pas arrivé avec un livre.
