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Gwendy Peterson

Série de 3 livres (En cours). Écrite par Richard Chizmar (3), Stephen King (2),


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La Dernière mission de Gwendy

À 64 ans, Gwendy est une romancière à succès et la deuxième sénatrice du Maine. En ce matin de 2026, elle se prépare à monter dans une fusée pour rejoindre la nouvelle station spatiale. Elle concrétise ainsi un rêve d’enfant fascinée par les étoiles, mais ce voyage a un autre but. Gwendy doit mettre en sûreté la boîte à boutons que Richard Farris lui a donnée pour la première fois quand elle avait douze ans. Des puissances maléfiques veulent s’emparer de l’objet et faire usage de ses terribles pouvoirs. Aussi, lâcher la boîte à des milliers de kilomètres au-dessus de la Terre semble la seule solution. « Il faut que ce soit l’espace. Lequel n’est pas seulement la dernière frontière, mais aussi la déchetterie suprême. » (p. 24) Parmi les autres passagers, elle espère se faire discrète et accomplir sa mission sans encombre. Hélas, elle souffre de pertes de mémoire très handicapantes. « Peut-être, ce que désirait surtout la boîte à boutons, c’était un acte volontaire de folie et de destruction massive, commis par sa plus fidèle gardienne. Voilà qui serait vraiment une victoire – la plus grande de toutes – pour les méchants. Par ailleurs, qui étaient ces méchants exactement ? » (p. 88) En outre, un autre participant du voyage a des intentions mauvaises. Entre ses mains, la boîte de tous les possibles serait la plus dangereuse menace ayant jamais pesé sur l’humanité. « Le sort du monde dépend du contenu de cette boîte. » (p. 10)

Ce volet conclusif rattache la trilogie de Gwendy au grand univers littéraire de Stephen King, notamment son œuvre phare, La tour sombre, mais nous emmène aussi à Derry et nous rapproche dangereusement d’un clown sanguinaire. J’ai pris beaucoup de plaisir à lire ces trois romans écrits à quatre mains. Ce dernier opus ménage un suspense de bon aloi grâce aux chapitres qui alternent entre présent et passé. On apprend ainsi ce qu’a vécu l’héroïne depuis La plume magique de Gwendy, ses joies et ses peines. Et comme souvent dans les textes du King, ce n’est pas des montres dont il faut avoir peur, mais bien des humains. « Les gens n’ont besoin d’aucune boîte à boutons pour commettre des horreurs. L’esprit humain est bourré de connerie malfaisante. » (p. 245)

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La Dernière mission de Gwendy

Gwendy a 64 ans, a été élue sénatrice et participe à voyage spatial pour rejoindre une station orbitale. Elle transporte une mallette contenant des documents classifiés que la vedette n°2, un milliardaire qui a payé son voyage, lorgne régulièrement dessus.



Dernier tome de la trilogie avec Gwendy qui met un point final à l’histoire de la boîte à boutons et de Gwendy. Si j’étais contente de retrouver ce personnage, j’ai mis beaucoup de temps à entrer dans le récit. Les chapitres sur le voyage spatial alternent avec des chapitres décrivant ce qu’il s’est passé pour que Gwendy devienne sénatrice et la raison de ce voyage. Puis on reste dans le présent du récit. Gwendy réussira-t-elle sa mission ? Il va falloir le lire pour le savoir.
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La Dernière mission de Gwendy

Ce que j’ai aimé :

+ La patte du King

+ Les références à d’autres histoires

+ Les liens avec l’actualité (passé ou présente)

+ La maladie d’Alzheimer bien perçue



Ce que j’ai moins aimé :

- Trop de retour dans le passé donnant une impression de longueur.

Pour la petite histoire :

Gwendy se voit confier une dernière mission, elle semble la seule à pouvoir la mener a bien, pour cela elle va devoir combattre une maladie pernicieuse qui lui ronge la mémoire, la maladie d’Alzheimer. C’est en route pour la station MF-1 à bord un fusée qu’elle va lutter contre ses démons, la maladie et les autres…

Mon Avis :

Ce n’est pas une de mes histoires favorites. Trop de longueur font qu’on finit par ne plus avoir envie de tourner les pages, malgré une histoire originale qui ne manque pas d’attrait.

J’ai tenu le plus longtemps possible, le combat de Gwendy contre la maladie m’a fait voir cette Alzheimer différemment. C’est une lutte de tous les instants à vivre pour tenter de garder la tête hors de l’eau. Le côté fantastique de l’histoire ajoute de la tension car après tout si elle oublie sa mission et son objectif, le monde va périr… et malgré que certains souvenirs vont s’effacer, nous on continue d’avoir les informations en tant que lecteur, ne désirant plus que d’ouvrir un hublot pour jeter certain dans l’espace.

En gros, je pense que c’est un bon roman, mais que ce n’était pas le moment pour moi de le lire.


Lien : http://lillyunlivre.home.blo..
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La Dernière mission de Gwendy

Je viens de terminer le dernier tome de la trilogie de "Gwendy Peterson". Je dois dire que le King m'a surpris, habitué à des romans noirs. L'histoire de Gwendy est tout autre, peut-être la plume de son ami Richard Chizmar.

Ce roman nous offre un voyage dans l'espace pour le prix d'un bouquin !

Stephen King apporte des éléments reliant l'histoire de Gwendy à son œuvre littéraire et nous offre un final à la trilogie. J'en suis resté interrogatif quant à l'univers qui nous entoure et notre place dans celui-ci.
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La plume magique de Gwendy

Gwendy Peterson a 37 ans et a été élue représentante au congrès au partie démocrate pour le Maine. Avant les congés de fin d’année auprès de ses parents à Castle Rock et le passage à l’an 2000, la boîte à boutons réapparaît sans une explication.



J’ai retrouvé avec plaisir le personnage de Gwendy, sa nouvelle vie, Castle Rock et ses habitants qui doivent faire face à des disparitions de jeunes filles. Gwendy a eu une vie agréable, facile mais elle doit affronter la maladie pour l’un des ses proches et s’interroge sur sa vie, est-ce elle qui tient les manettes ou la boite ? La plume de l’auteur est agréable et je me suis entièrement immergée dans ce conte. Juste un regret sur le dénouement de l’enquête.



Hâte de lire le dernier tome.
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Gwendy et la boîte à boutons

Comme pour Elévation, on retrouve ici ce que King sait faire le mieux : lâcher une petite grenade surnaturelle au milieu d'une vi(ll)e bien rangée. Gwendy est une petite fille gentille, attachante, intelligente et en tant que lectrice, je n'ai pu qu'avoir peur de l'impact qu'aurait un tel objet sur elle. Parce que le pouvoir avilit souvent les adultes, et que le bonheur et la facilité ne réussissent pas à tout le monde. L'apparition de cette boîte magique émerveille puis effraie Gwendy ; ce qui est intéressant, c'est de suivre l'évolution de sa mentalité face à ce qui lui est offert, ses peurs, ses espoirs.

Encore une fois, je suis soufflée par la capacité de King à infiltrer le quotidien pour y trouver le meilleur comme le pire, à tracer des lignes d'existence pour nous proposer d'en explorer un segment, comme si nous ne faisions que traverser la vie de ses personnages, et qu'ils existaient au-delà de nous et de son œuvre. Bref, je n'ai pas grand chose de plus à dire sur ce très court roman, si ce n'est qu'encore une fois, King m'a donné un bon cours d'efficacité !
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Gwendy et la boîte à boutons

Gwendy Peterson, douze ans, s’entraîne à monter les marches de suicidés à Castel Rock en courant pour perdre du poids. En haut, elle rencontre Richard Farris qui lui demande de garder une boîte en acajou très particulière.



Première nouvelle d’une trilogie que j’ai beaucoup aimée car l’histoire est simple et très prenante. On suit l’évolution de Gwendy et de son entourage sur plusieurs années grâce aux pouvoirs de cette boîte mais aussi du poids des responsabilités qu’elle impose à Gwendy car cette boîte apporte autant de bien que de mal.
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La Dernière mission de Gwendy

La dernère mission de Gwendy, termine comme son nom l'indique le cycle Gwendy Peterson, commencé avec Gwendy et la boîte à boutons et poursuivi avec La plume de Gwendy. Cette chronique vaut pour l'ensemble des trois romans, qu'il est préférable de lire dans l'ordre, comme beaucoup de cycles de ce type.

Cette oeuvre est écrite en collaboration avec Richard Chizmar, qui eh a signé seul le deuxième opus. Elle pose le problème présent dans toutes les collaborations littéraires: qui a fait quoi?

Selon SK, elle trouve son origine dans une esquisse de nouvelle de sa main, reprise et développée sur l'instigation et avec le concours de Chizmar; acceptons-en l'augure. Cependant l'écriture reste très proche de celle de King, comme c'est le cas dans ses collaborations avec son fils, Joë Hill, très supérieures aux productions indépendantes de ce dernier.

Pour autant, ce n'est pas du meilleur SK, comme d'ailleurs ses dernières oeuvres, Billy Summers, Après et Conte de fée, ces deux derniers proches du roman pour ados.(Toutefois la dernière parue, Holly, quatrième opus du Cycle Bille Hodges, que je suis en train de lire, me semble plus prometteuse.)

Dans ces limites, le cycle de Gwendy est tout à fait honorable et plaisant à lire.

L'histoire des tribulations de l'héroïne aux prises avec la mystérieuse Boîte à boutons qu'elle lui incombe de de garder et d'empêcher de faire le mal est une reprise appuyée et d'ailleurs assumée de la quête de Frodo porteur de l'Anneau Unique dans le Seigneur des Anneaux, à un registre inférieur naturellement.

Et ce serait même un très bon livre s'il était dû à un auteur moins doué.

Mais c'est un constat général: ces derniers temps, les écrivains et lleur héros, du Commissaire Montalbano à Harry Bosch en passant par Walt Longmire, sont fatigués. Et je ne parle pas par charité du malheureux Adamsberg....
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