Après des années de pause, j’ai repris mon abonnement Audible pour pouvoir écouter à nouveau des livres audios. Mes genres préférés en livre audio sont les romances historiques et les romans policiers. Je préfère choisir des livres plutôt longs (minimum de 15 heures d’écoute), car je sais que ce sont souvent des livres avec lesquels j’ai tendance à décrocher en version papier alors que ce n’est pas le cas quand ils sont narrés.



J’avais fait une pause de près de cinq ans dans la saga des Sept sœurs, j’étais donc un peu perdue en reprenant le cours de l’histoire, mais ce que je trouve bien avec ces livres, c’est qu’ils ont chacun leur propre histoire et qu’ils peuvent être lus presque indépendamment les uns des autres. La trame de fond qui les relie est assez simple, il s’agit de la mort de Pa Salt et du mystère de l’adoption des six filles et de leur sœur manquante. En revanche, j’avais un peu oublié les relations actuelles des sœurs et j’ai eu un peu de mal à me remettre dans le bain.



J’ai beaucoup apprécié l’histoire de ce quatrième tome, en particulier le récit du passé. J’ai adoré le voyage de l’Écosse à l’Australie et découvrir de nombreuses choses au sujet de ce vaste pays sauvage à l’histoire encore toute récente. L’histoire de Kitty, jeune écossaise de famille modeste, qui part en Australie en tant que femme de compagnie au début du 20ème siècle, ainsi que de ses proches, sur plusieurs générations, est tout simplement fascinante et déchirante, avec de nombreux retournements de situation.



J’ai eu un peu plus de mal avec la trame concernant le présent. Je dois admettre que les personnes aisées qui sont propriétaires d’une maison en Suisse, d’un appartement dans un quartier riche de Londres et qui jouent les faux aventuriers dans tout le confort de leur plage hyper touristique en Thaïlande après leur vol en classe affaire ont un peu de mal à me parler vraiment. J’ai également trouvé ça dommage que tout le développement de l’histoire d’amour de CeCe avec le mystérieux jeune homme qu’elle rencontre sur cette plage, et tous les secrets qui l’entourent, ne mènent finalement à rien. J’ai du mal à comprendre pourquoi autant de temps a été dédié dans leur relation dans ce roman.



C’est dans l’ensemble une réussite. Même si ce n’est pas mon roman préféré de la saga, c’est toujours un plaisir que de découvrir le récit de l’une des sœurs et de ses origines. J’ai hâte de découvrir la suite et d’enfin percer tous les secrets de leur adoption.
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Troisième tome de l’histoire des sept sœurs qui se centre sur Star (Astérope), la sœur discrète qui vit dans l’ombre de Cece. Nous retrouvons les inséparables à Londres. CeCe tente à nouveau un parcours universitaire, dans l’art, alors que Star n’a pas trouvé sa voie, même si la littérature semble bien être son domaine. Mal à l’aise dans l’appartement que sa sœur vient d’acheter à Londres, lasse de cette proximité qui lui devient pesante, Star se décide à ouvrir l’enveloppe remise par son père et qui doit lui permettre de retrouver ses origines. Une quête qui passe par une librairie de livres rares de Londres et la rencontre avec une famille pas banale. Jusqu’où mènera cette route ? Star parviendra-t-elle à s’émanciper et à trouver sa voie ?



Après le Brésil et le Corcovado, après la Norvège et Peer Gynt nous voici sur des terres plus connues, celles de l’Angleterre, entre Londres et le Kent, naviguant entre 2017 et la fin du règne d’Édouard VII. Où l’on se rend compte que depuis Jane Austen la condition des jeunes filles et des femmes de la Haute Société n’a pas évolué en un peu plus de cent ans.



Cette fois encore la quête d’identité d’une des sœurs est le prétexte à mêler personnages réels et fictifs. On surfe sur la vague victorienne. Il y a vraiment de l’inspiration piochée chez Jane Austen. Et c’est là que le bât blesse pour moi.



Ce volet est lent, très lent. Le récit est dilué, va trop loin dans le détail inutile. L’histoire de flora occupe les deux tiers du récit, ne laissant finalement que peu de place aux émotions et à la vie de Star, pour un final que l’on a vu venir dès les premières pages. Alors que j’avais dévoré le premier tome (en trois jours), dégusté le second (en 8 jours) il m’aura fallu 18 jours pour venir à bout de cet opus. Je n’ai pas été transportée par la quête de Star. J’ai déjà tellement souvent lu l’histoire de Flora. Je suis lasse des couples qui se détestent au premier regard et se marient à la fin, des secrets de famille qui se ressemblent tous (avec quelques variantes), des clichés de classes (d’un côté tous beaux, intelligents et riches, de l’autre tous vauriens, gauches et condamnés à une vie médiocre).



J’avais été porté par l’élan des deux premiers, j’ai été refroidi par la fadeur de ce troisième. J’espère que le prochain renouvellera l’intérêt, même si la personnalité de CeCe ne me séduit pas beaucoup jusqu’à présent. Car malgré ses défauts, l’histoire des 7 sœurs reste addictive.

Il s’agit du deuxième tome de la saga des 7 sœurs, dans lequel on découvre l’histoire d’Ally la deuxième sœur.

Celle-ci est navigatrice et musicienne, même s’il est parfois obligée de choisir à quelle passion elle donne la priorité.

Elle se remet difficilement de la disparition de son père, et la vie va encore la mettre à l’épreuve… c’est là qu’elle décide d’ouvrir la lettre que son père lui a laissé et de partir à la découverte de ses origines.



J’ai beaucoup aimé ce tome, grâce auquel j’ai pu découvrir la Norvège. Le rythme d’écriture est prenant, et l’alternance entre deux époques me donne toujours envie de lire plus et plus vite. On sent le travail de recherche derrière l’écriture, et tous les détails permettent de s’imprégner des lieux évoqués, et d’avoir l’impression d’y être allé soi-même.

En bref, à nouveau un gros coup de cœur et l’envie de découvrir les autres sœurs et leurs origines.

Je continue à avancer dans la saga des Sept Sœurs de Lucinda Riley avec le 7eme et avant-dernier tome, La Sœur disparue.



Les six sœurs sont à la recherche de la sœur qu’elles n’ont jamais connue. Comme indices, l’adresse d’un vignoble en Nouvelle-Zélande et le dessin d’une bague. Les sœurs veulent la retrouver avant la cérémonie d’adieu à Pa Salt qui arrive à grands pas.



La trame est identique à celle des livres précédents, à ceci près que cette fois-ci, les sœurs se relaient partout dans le monde dans leur traque de Merry et sa fille Mary-Kate.



Comme toujours les recherches historiques sont très bien documentées et j’ai beaucoup appris sur l’Irlande et l’IRA.



La partie sur la France et ses vignobles m’a, en revanche, semblé pleine de clichés.



Mon sentiment est mitigé. J’ai envie de connaître la fin et je vais lire le dernier tome pour avoir toutes les réponses que j’attends, mais en même temps, j’ai été un peu déçu par ce tome. J’ai trouvé qu’il y avait des longueurs, du remplissage, que certaines informations concernant chacune des sœurs n’apportaient rien à l’histoire. Peut-être que l’auteure était au bout de cette saga et s’épuisait.



Néanmoins, je ne regrette pas cette lecture qui se lit facilement, les pages tournent toutes seules et on a envie de connaître la fin de l’histoire et d’enfin savoir qui est cette sœur disparue et pourquoi elle a disparu.



J’espère que le dernier tome tiendra ses promesses et que toutes les questions en suspens seront levées.


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Ce 6e tome nous fait découvrir Electra qui est décrite depuis le premier tome comme rebelle et à part des autres. Elle est peu présente dans les premiers tomes.

Comme dans les tomes précédents nous retrouvons une double narration.

Il y a un décalage temporel dans les origines de la 6e soeur par rapport aux autres, les recherches étant plus récentes. Lucinda Riley a fait un travail de recherches incroyable aussi bien sur le fléau de la toxicomanie que sur la vie au Kenya. J'ai eu la sensation que l'auteur a voulu se justifier par rapport à la façon dont a été décrit ce personnage jusqu'ici. À mon sens l'évolution de ce personnage est spectaculaire ce qui contraste avec la place qu'elle a tenue jusqu'ici.

J'ai noté que les autres soeurs sont plus présentes que dans les tomes précédents, comme si nous nous préparions à la lecture des deux derniers tomes. Electra est assez effacée depuis le début et pourtant ses soeurs sont assez présentes dans ce tome.

Mon tome préféré depuis le début.

On retrouve avec plaisir l'univers de Lucinda Riley, dans ce tome 4 de la saga des sept sœurs.



Consacré à Cece, je suis agréablement surprise par sa personnalité. J'ai apprécié la découvrir dans la quête de ses origines.



Comme dans chaque tome, nous parcourons l'histoire de l'une des sœurs et, dans une double temporalité, celle d'un membre de sa famille. Les 2 histoires sont très addictives.



L'Australie, cette terre sauvage, est la terre de tout les possibles. L'amour, la réussite,....



Un beau moment en leur compagnie.



Je déguste petit a petit la série. Donc rendez-vous dans quelques semaines pour le tome 5.... 🥰
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Elles sont toutes adoptées, elles cherchent toutes leurs origines, elles sont toutes genevoises et riches, elles ont chacune un ou plusieurs talents, elles sont toutes belles (ah ça c’est important, hein) elles aiment toutes beaucoup leur papa qui vient de mourir et leur maman d’adoption qui est très gentille, elles rencontrent toutes l’amour et l’amitié avec tout plein de bons sentiments, elles retrouvent toutes en quelques jours l’histoire détaillée de leurs ascendants sur un siècle, ainsi qu’un ou plusieurs parents biologiques très contents de les voir débouler dans leurs vies, elles sont toutes liées à un personnage important de l’histoire ou de la culture, elles manquent toutes singulièrement d’humour…. Enfin, au moins jusqu’à la quatrième : je n’ai pas fini la série. L’écriture, sans prétention littéraire, réserve cependant quelques ressorts qui ont capté mon attention, et des éléments historiques auxquels je suis toujours sensible. Les ellipses des tomes 2 et 4 : fautes d’inattentions de l’autrice, ou prémices d’une surprise qui sera révélée au tome 8 ? Les amies qui m’ont recommandé cette saga m’affirment que ce dernier est magistral. J’irai peut-être jusqu’au bout pour cela.

Après une pause dans la saga pour me remettre du tome 7 dont la lecture m’avait ennuyée au plus haut point, j’ai apprécié de revisiter tous les lieux précédemment découverts dans ce dernier opus.

L’histoire est peu vraisemblable dans le fond, mais au moins le récit progresse à un bon rythme et propose d’assembler toutes les pièces pour former un puzzle qui se tient, si l’on n’y regarde pas de trop près…