Nationalité : Royaume-Uni
Né(e) à : Coventry , le 28/10/1944
Mort(e) à : Londres , le 28/10/1986
Né(e) à : Coventry , le 28/10/1944
Mort(e) à : Londres , le 28/10/1986
Biographie :
Ian Don Marter est un acteur et écrivain.
Après des études à l'Université d'Oxford en 1969, il se tournera vers le théâtre et commencera sa carrière en tant que régisseur au Bristol Old Vic où il tient parfois des petits rôles.
En 1972, il est engagé pour jouer dans "Doctor Who" le rôle régulier de Harry Sullivan dans la saison 12 de la série (1974-1975).
Ian Marter continuera sa carrière d'acteur à la télévision dans des séries comme Bergerac (1981) ou Sherlock Holmes (1986). Il aura même des petits rôles dans des films comme L'Abominable Docteur Phibes (1971), La Grande Menace (1978). Il travaillera quelque temps en Nouvelle-Zélande au début des années 1980 et apparaîtra dans le soap opera Close to Home en 1982.
De la fin des années 1970 aux années 1980, Ian Marter s'engage à écrire neufs novélisations des épisodes de Doctor Who pour les éditions Target Book.
En 1986, il écrira aussi l'un des premiers roman dérivé de la série, racontant les aventures d'Harry Sullivan pour les éditions Target Book et intitulé Harry Sullivan's War.
Avec les éditions Target Book, il novélise aussi certains films américains comme Splash et Le Clochard de Beverly Hills sous le nom de plume de Ian Don.
Sa dernière novélisation, une adaptation de l'épisode The Rescue fut complétée par Nigel Robinson et publiée à titre posthume.
Diabétique, il meurt le jour de ses 42 ans d'une crise cardiaque à Londres.
+ Voir plusIan Don Marter est un acteur et écrivain.
Après des études à l'Université d'Oxford en 1969, il se tournera vers le théâtre et commencera sa carrière en tant que régisseur au Bristol Old Vic où il tient parfois des petits rôles.
En 1972, il est engagé pour jouer dans "Doctor Who" le rôle régulier de Harry Sullivan dans la saison 12 de la série (1974-1975).
Ian Marter continuera sa carrière d'acteur à la télévision dans des séries comme Bergerac (1981) ou Sherlock Holmes (1986). Il aura même des petits rôles dans des films comme L'Abominable Docteur Phibes (1971), La Grande Menace (1978). Il travaillera quelque temps en Nouvelle-Zélande au début des années 1980 et apparaîtra dans le soap opera Close to Home en 1982.
De la fin des années 1970 aux années 1980, Ian Marter s'engage à écrire neufs novélisations des épisodes de Doctor Who pour les éditions Target Book.
En 1986, il écrira aussi l'un des premiers roman dérivé de la série, racontant les aventures d'Harry Sullivan pour les éditions Target Book et intitulé Harry Sullivan's War.
Avec les éditions Target Book, il novélise aussi certains films américains comme Splash et Le Clochard de Beverly Hills sous le nom de plume de Ian Don.
Sa dernière novélisation, une adaptation de l'épisode The Rescue fut complétée par Nigel Robinson et publiée à titre posthume.
Diabétique, il meurt le jour de ses 42 ans d'une crise cardiaque à Londres.
Source : Wikipédia
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Citations et extraits (7)
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« Hello ! roucoula Mrs. Stimler en levant les yeux de son crochet. Vous n’êtes pas en avance ce matin, Mr. Bauer. Et qu’est-ce qui est arrivé à votre tête ? Les plombs on sauté ? »
Allen extirpa du chaos qui régnait sur le bureau de sa secrétaire la modeste pile de courrier qui lui était destinée.
« Non, non, Mrs. Stimler. J’ai été heurté par un bateau, c’est tout. »
Elle le regarda à travers ses double-foyer avec une compassion distante. Malgré la douleur, Allen écarquilla les yeux. Mrs. Stimler portait son soutien-gorge Playtex Cœur-Croisé, taille 95 C, par-dessus son corsage, informe et taché.
« Euh… Mrs. Stimler…
- Oui, Mr. Allen ? »
Allen considéra l’échafaudage de dentelle qui soutenait avec bonheur l’ample poitrine de sa secrétaire, offerte à l’admiration de tous. Il renonça.
« Non, non… ce n’est rien, marmonna-t-il.
- Ça fait plaisir de vous voir de retour », dit-elle avec un sourire mutin.
Allen extirpa du chaos qui régnait sur le bureau de sa secrétaire la modeste pile de courrier qui lui était destinée.
« Non, non, Mrs. Stimler. J’ai été heurté par un bateau, c’est tout. »
Elle le regarda à travers ses double-foyer avec une compassion distante. Malgré la douleur, Allen écarquilla les yeux. Mrs. Stimler portait son soutien-gorge Playtex Cœur-Croisé, taille 95 C, par-dessus son corsage, informe et taché.
« Euh… Mrs. Stimler…
- Oui, Mr. Allen ? »
Allen considéra l’échafaudage de dentelle qui soutenait avec bonheur l’ample poitrine de sa secrétaire, offerte à l’admiration de tous. Il renonça.
« Non, non… ce n’est rien, marmonna-t-il.
- Ça fait plaisir de vous voir de retour », dit-elle avec un sourire mutin.
« Dites donc, Allen, où est-elle votre sensationnelle beauté ?
- Elle ne viendra pas aujourd’hui, okay ? cria-t-il. Vous voulez vous faire rembourser ? »
Dans les rangs du fond, des têtes se tournèrent.
« Allen, je suis navré d’apprendre…
- Elle m’a quitté ! Elle a foutu le camp, ma vie n’est plus qu’un champ de ruines ! Bon, voilà pour les nouvelles. Vous voulez la météo maintenant ? hurla-t-il… N’importe où sauf les dans les trois premiers rangs ! »
- Elle ne viendra pas aujourd’hui, okay ? cria-t-il. Vous voulez vous faire rembourser ? »
Dans les rangs du fond, des têtes se tournèrent.
« Allen, je suis navré d’apprendre…
- Elle m’a quitté ! Elle a foutu le camp, ma vie n’est plus qu’un champ de ruines ! Bon, voilà pour les nouvelles. Vous voulez la météo maintenant ? hurla-t-il… N’importe où sauf les dans les trois premiers rangs ! »
Allen arriva dans l’antichambre, au sommet de l’escalier, Freddie sur ses talons. Il demanda à Mrs. Stimler, la secrétaire, s’il y avait des messages. Mrs. Stimler était une veuve aux cheveux gris et à l’œil vague derrière des lunettes à double foyer, vêtue d’un hideux twin-set désassorti. En guise de perles, elle portait au cou une clef au bout d’une ficelle. Ses cheveux étaient protégés par un bonnet de douche en plastique. Sa machine à écrire silencieuse était poussiéreuse et son bureau couvert de bric-à-brac. Elle contempla aimablement les deux frères tout en continuant de découper des recettes dans un magazine féminin.
« Oui. Votre père a téléphoné. Il veut que vous le rappeliez », dit-elle d’une voix de fausset.
Allen et Freddie se regardèrent en haussant les sourcils et soupirèrent.
« Euh… Mrs. Stimler, notre père est décédé il y a cinq ans », lui fit gentiment remarquer Allen.
Mrs. Stimler posa ses ciseaux. « C’est juste. Vous voulez que je l’appelle pour vous Mr. Allen ? »
Allen se prit la tête à deux mains et fit un sérieux effort pour garder son calme.
« Non, non, non, je m’en occuperai moi-même. Vous n’avez qu’à… continuez votre travail. »
Docilement, Mrs. Stimler reprit ses ciseaux et sa tâche.
« Oui. Votre père a téléphoné. Il veut que vous le rappeliez », dit-elle d’une voix de fausset.
Allen et Freddie se regardèrent en haussant les sourcils et soupirèrent.
« Euh… Mrs. Stimler, notre père est décédé il y a cinq ans », lui fit gentiment remarquer Allen.
Mrs. Stimler posa ses ciseaux. « C’est juste. Vous voulez que je l’appelle pour vous Mr. Allen ? »
Allen se prit la tête à deux mains et fit un sérieux effort pour garder son calme.
« Non, non, non, je m’en occuperai moi-même. Vous n’avez qu’à… continuez votre travail. »
Docilement, Mrs. Stimler reprit ses ciseaux et sa tâche.
« Que s’est-il passé ? demanda Buyrite. »
Freddie réfléchit à toute vitesse.
« Le téléphone ! s’exclama-t-il.
- Le téléphone ?
- Ouais. Vous comprenez, il était au téléphone quand la grenade a explosé et depuis… eh bien, il s’enfuit ; il saute dans une voiture et il fiche le camp, expliqua Freddie comme si tout cela était un modèle de logique. »
Freddie réfléchit à toute vitesse.
« Le téléphone ! s’exclama-t-il.
- Le téléphone ?
- Ouais. Vous comprenez, il était au téléphone quand la grenade a explosé et depuis… eh bien, il s’enfuit ; il saute dans une voiture et il fiche le camp, expliqua Freddie comme si tout cela était un modèle de logique. »
« Vous voulez l’essayer ? » demanda aimablement Dora, qui tapota sa mise en plis sophistiquée en passant devant une glace. « Laissez-moi vous aidez. Qui sait… C’est peut-être tout à fait vous ! En tout cas, ce n’est pas moi ! Je ne pourrai même pas fourrer une jambe là-dedans. Ma fille a de la chance, elle. Elle est anorexique. »
« Revenez nous voir bientôt, mon petit lapin, dit-elle. Et maintenant, si vous alliez faire un tour à la lingerie ? Une jolie fille comme vous ne devrait pas porter des caleçons courts. »
« Non, Freddie, je ne vais pas à Rio. Je vais à Cape Cod. »
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