incipit :
Au nom d'Allâh, le Bienfaiteur miséricordieux.
Mon Dieu, Vous nous avez accordés Vos grâces ; daignez les accroître.
Que Dieu t'ait en sa garde, qu'Il t'aide à Lui rendre grâce, qu'Il te permette de Lui obéir et qu'Il te place au nombre des élus qui bénéficieront de Sa miséricorde.
Tu me dis que tu as lu mon ouvrage sur "Le classement des ruses des voleurs qui opèrent le jour et le détail des ruses empployées par les malfaiteurs nocturnes" ; d'après toi, ce livre t'a permis de combler toutes tes lacunes, de renforcer tous tes points faibles et, en somme, de faire de grands progrès car il t'a fourni de nombreux renseignements sur les fourberies les plus subtiles et t'a ouvert les yeux sur les ruses les plus extraordinaires, à tel point que tu en sais plus qu'il n'est nécessaire pour déjouer les machinations et les subterfuges les plus adroits.
Tu me dis qu'il est d'une immense subtilité et que l'approfondir constitue un devoir, puis tu ajoutes : "Raconte-moi maintenant des anecdotes sur les avares, indique-moi les arguments qu'ils emploient pour se défendre et note ce qui entre dans le chapitre de l'humour et dans celui du sérieux, afin que l'humour et la plaisanterie me servent de détente et de repos, la gravité fatigue et rebute, mais celui qui en a saisi l'utilité ne doit pas manquer d'y revenir."
Ce que l'éphèbe a de plus avantageux
c'est que tu peux être assuré
qu'il n'aura ni menstrues ni grossesse.
Lorsqu'il est question de con, de bite et de baise, ceux qui se prétendent ascétes et abstinents font mine d'être dégoûtés et se renfrognent. La plupart sont aussi pauvres en savoir, générosité, noblesse d'âme et dignité qu'ils sont riches en fausseté et fourberie. Ces mots ont été inventés pour être employés. C'est un non-sens que de les inventer pour ne pas les utiliser.