« La parole de celles qui ont exercé ‘le plus métier du monde’ en temps de guerre est inaudible. La chape de plomb morale, légale et sanitaire est telle qu’il n’existe aucun témoignage direct, aucune mémoire constituée. Il faut se contenter de la voix des autorités civiles et militaires qui contrôlent la prostitution. » (p. 22)