Quelque chose de féminin fleurit dans l’art de peindre.
On laisse venir à soi l’image intérieure… On délaisse un instant nos modèles, nos photographies, nos belles images… On rêve de saisir sans tarder la fluidité d’un poignet, la délicate offrande des phalanges s’approchant d’un visage, des fins contours d’une oreille.