La décence m'avait enseigné qu'il fallait toujours passer une chemise propre par dessus la sale. Restée seule dans l'atelier, comme je n'avais ni draps ni linge, j'ai dormi nue, emmitouflée dans une peau de bête. En imaginant la tête de ma tante si elle me voyait ainsi, j'ai eu un fou rire. Pour la première fois de ma vie, j'étais libre.