Je suis seule, la nuit tombe. Je cours. Encore les voix qui m’appellent. Cette ombre que je n’arrive pas atteindre. Va vers la lumière… non reste dans l’ombre. Arrêtez ces voix, je vous en prie. J’ai beau crier, elles résonnent encore et encore. Sa main sur moi se pose. William, enfin tu es là, je me sens bien. Il me sourit. La douleur sur son visage apparaît et le sang coule de sa poitrine. Je t’aime, murmure-t-il en s’écroulant. Non, son cœur est transpercé par un pieu. Et ce rire qui résonne… qui a fait ça ? Je te connais ! Pourquoi ? ».