Un jour, on ira sur les flancs des montagnes pour sentir l'extérieur d'un souffle qui fait trembler un cœur las. On navigue au milieu des sapins, à minuit, quand le monde encore vierge de nos vies trop pressées sait saisir dans un pas le battement d'un monde qui s'écroule. (« Un jour on ira...», Tom Lévêque)