On n'est jamais seul dans sa tête, fifille.
Solitaire, certes. Mais seule, jamais.
Etre seul, c'est s'entraîner à la mort...
Ce qui est effrayant dans la mort de l'être cher, ce n'est pas la mort, c'est comment on est consolé.
On se console souvent d'être malheureux par un certain plaisir qu'on trouve à le paraître.
La vie n'est qu'une journée et la mort qu'une nuit...