Je les hais toutes, je les abhorre, je les déteste, les fuis. Soit raison, soit nature, soit colère aveugle, je veux les haïr. L’eau s’unira paisiblement au feu ; les Syrtes mouvantes offriront aux navires une passe commode et sans péril, le matin brillant se lèvera sur les ondes occidentales de la mer d’Hespérie, et les loups caresseront avec amour les daims timides, avant que mon cœur se dépouille de sa haine, et s’apaise envers la femme.