les entreprises françaises qui, évoluant dans une économie de plus en plus mondialisée et un jeu désormais fortement concurrentiel, mobilisent leur « patrimoine françafricain » – en même temps qu’elles s’en affranchissent progressivement – au profit d’une oligarchie dans laquelle elles s’intègrent peu à peu, à des degrés divers qui permettent d’en établir une typologie.