C’est la faute de cette troisième génération. Elle veut faire les choses tellement vite qu’elle ne reconnaît pas l’ours sauvage. Ou plutôt, elle se croit capable de le dompter ou de l’ignorer. C’est comme dans l’affiche (alfa) du skieur qui dévale la pente et va tout droit dans les bras de l’ours. Résultat : non seulement l’ours va le ralentir, mais il risque de l’arrêter, et plus vraisemblablement de le croquer.
Et cela, le slogan ne le dit pas. La morale ? Il faut savoir reconnaître l’ours !