Cet enquête a confirmé ce que je pensais quant à la volonté de la plupart des "niqabées" de se "niqaber", pour moitié des converties.
Ce terme est celui de l'auteur.
Ce sont des militantes et non de pauvres victimes voulant passer comme telles suite au vote de la loi du 11 octobre 2010, interdisant le port du niqab, ce petit bout de tissu qui recouvre la quasi-totalité du visage et porté avec le hidjab.
Le port du niqab a fréquemment peu de rapport avec la pudeur musulmane étant donné qu'il permet à la femme de voir sans être vue, tout en attirant le regard.
Elles ont souvent eu une vie sexuelle "agitée" ou ont subi des violences sexuelles des hommes de leur famille musulmane (père, frères...) et ont été plusieurs fois mariées, légalement ou non.
Le regard porté sur elles de la part des femmes et même d'un certain nombre de musulmanes plutôt âgées est souvent peu amène.
Fanatisme, provocation, ignorance, victimisation ?
Un peu de tout cela, sans doute, à la lecture des témoignages.
Apparemment, les femmes interrogées, si elles ont abandonné le port du niqab, restent fidèles à l'hidjab.
Cette critique n'est pas que l'interprétation de l'auteur, c'est aussi la mienne !
Mais Agnès de Féo est plus dans la compréhension et l'indulgence, c'est une sociologue !
Certains de ses documentaires sont visibles sur youtube.
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