Parfois, on aurait dit qu'il jouait avec sa mort : rompant l'étreinte d'un coup, il posait son épée sur le front de la bête qui s'immobilisait ; ou bien l'arrêtait d'un geste, la main sur une corne, le corps désarmé, offert. Le taureau semblait obéir, apprivoisé, dompté.