Je ne me console pas de la mort d’un de mes fils, bien des années ont passé et c’est toujours aussi douloureux. Mais j’ai une vie heureuse à côté de ce souvenir, même si la consolation n’existe pas. J’ai eu la force de créer, à côté du chagrin, d’autres amours, d’autres œuvres, d’autres satisfactions. On peut vivre avec les blessures.