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Critiques de Alex Talamba (16)
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Pandora beach

J'avoue avoir acheté ce livre en même temps que Sidi Bouzid Kids uniquement pour le lien du dessinateur avec la Roumanie dont il est originaire, information confirmée par ailleurs par plusieurs sources, dont un article intitulé "Salon du livre de Paris 2013: La bande dessinée roumaine à l'honneur". Force est cependant de déclarer simplement que je ne le trouve pas conforme à mes goûts. Ma démarche se voulait bienveillante, mais pour le plaisir de lecture cela ne suffit de tout évidence pas. Les jeunes protagonistes sont très peu vêtus, et encore c'est un euphémisme, et il y a beaucoup de gros chiens noirs, mais encore? Puisse-t-il trouver vite son public.

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Pandora beach

La couverture de cette bd est intrigante, l'histoire bien écrite et l' atmosphère flippant.

Dans un pays qui pourrait être la Gréce, deux couples d'amis plutôt mignons et sympathiques s'offrent des vacances au bord de la mer. le guide trouvé chez les parents n'est pas récent et ils se retrouvent dans une pension où la vieille femme qui les accueille est plutôt désagréable et inquiétante. Dans cet endroit un drame terrible a eu lieu sans doute.

Finalement on ne saura pas grand chose. Une suite était prévue pour 2016 qui n'est pas encore parue....

C'est assez frustrant de ne pas avoir le fin mot de l'histoire. Un thriller bien mené, aux personnages attachants et bien campés. Il manque juste un fil à dénouer pour comprendre.... dommage.

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Sidi Bouzid Kids

Une lecture vraiment intéressante.

Alors oui, il y a un choix de point de vue sur cet événement éminemment politique et médiatique. Mais ce choix est expliqué et assumé : "la vérité des faits, souvent impossible à établir, m'importait moins que la possibilité d'exercer mon esprit critique et d'aiguiser l'intensité dramatique de mon récit". Et, oui, il était certainement mieux pour l'intrigue que le peuple soit innocent, révolté et mette à bas un dictateur. Je ne me prononce absolument pas sur la véracité des faits, je ne suis pas informée sur le sujet, à part ce qu'on a pu voir aux journaux télévisés. Il ne faut pas lire cette bd comme un reportage, mais comme une oeuvre de fiction inspirée de faits réels. Et vu comme ça, c'est une très bonne lecture.
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Sidi Bouzid Kids

Cette bande-dessinée retrace la récente révolution tunisienne depuis ses prémices jusqu'au départ du Président Ben Ali. Dans des notes à la fin du volume, l'auteur précise que cette BD ne se veut pas totalement réaliste : certains faits ont été modifiés pour l'intérêt dramatique de l'histoire. La postface replace ainsi les faits dans la réalité. On sent de l'engagement, bien sûr, mais il y a surtout le talent de l'auteur pour faire graviter autour de son personnage principal, Foued, tout ce qui a caractérisé cette période : le rôle primordial des réseaux sociaux et des téléphones portables, la violence et l'horreur des affrontements, mais aussi la présence de taupes un peu partout, enrôlées par les services de Ben Ali. Un récit percutant et bien mené, un découpage dynamique et un dessin convaincant. A découvrir.
Lien : http://surlestracesduchat.bl..
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Pandora beach

Des vacances à prix cassés ... ça cache forcément quelque chose de pas très clair ...



Et quand les embrouilles commence dès avant le départ, on sent bien que ça ne va pas s'arranger ! 



Car la mésaventure qui attend ces deux couples d'amis ; jamais ils ne l'auraient imaginée ! 



Déjà, le sandwich semi-avarié de la compagnie aérienne, la voiture hors d'âge proposée par l'agence de location, et le guide hors d'âge emporté par l'un des protagonistes ne semblaient pas augurer des vacances idylliques ...



L'Eden Beach Hotel était bien délabré, sa propriétaire, décrépite et un brin sorcière intrusive (jamais un hôtelier ne s'est chargé de la lessive de mon linge sale !) ...



Bref tout y est réuni pour alimenter les plus gros cauchemars, et faire de ces vacances un cauchemar éveillé !



Des dessins qui reflètent bien l'ambiance, mais la différence n'est pas assez nette entre la réalité de ce pays où sévit la misère et les cauchemars qui amplifient le sentiment de vacances ratées.  
Lien : http://les-lectures-de-bill-..
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Sidi Bouzid Kids

La révolution tunisienne est encore dans toute les mémoires puisqu'elle a commencé vers la mi-Décembre pour se terminer vers la Mi-Janvier. Ce récit reste une fiction qui s'inspire et gravite autour d'évènements et de personnages réels ayant participé à la révolution tunisienne qui allait devenir le point de départ de ce qu'on va appelé communément le Printemps arabe. Après Ben Ali, des dictateurs tel que Kadhafi ou Moubarak sont tombés. Il en manque encore un mais avec le temps, on pense qu'il va tomber. Il faut savoir que ces dictateurs ont réellement du sang entre les mains car les policiers n'hésitent pas à tirer sur le peuple et de ter des enfants, des bébés, des vieillards. Je ne pensais pas que cette révolution tunisienne avait été aussi dure. Les images ne nous seront pas épargnées.



Tout a commencé avec l'acte désespéré d'un jeune kid de la ville de Sidi Bouzid qui s'est immolé par le feu. Pour faire subsister sa mère et ses six frères, il vendait depuis plusieurs années des fruits et légumes dans la rue, avec sa petite charrette, sans autorisation, se mettant ainsi à la merci du harcèlement et du racket de la police et de l'administration ce qu'ils ne manqueront pas de faire en lui confisquant son matériel. Cette immolation allait déclencher à travers tout le pays une vague de protestation. Encore une fois, il y a ceux qui ont tout et ceux qui n'ont rien. Ceux qui ont tout possède une puissante police pour les protéger et matraquer le peuple.



Il est fait référence à cette fameuse scène où une ministre française des affaires étrangères anciennement à l'intérieur, venue passé des vacances dans une station balnéaire dans un pays en crise grave, propose le savoir-faire qui est reconnu dans le monde entier des forces de sécurité pour régler des situations sécuritaire. Le manque de clairvoyance de ce gouvernement a fait honte à notre pays. Bon, il s'est rattrapé par la suite en Libye. Cependant, l'auteur de cette bd n'a pas oublié et raconte en détail les faits.



La scène qui m'a le plus marqué est celle de la visite du président dans l'hôpital où était soigné celui qui s'était immolé par désespoir. Devant les caméras de TV et les médias, il a fait un beau discours plein de compassion. Le médecin-chef est tellement ému qu'il lui dira en aparté à la fin de sa visite qu'il fera tout pour le sauver. Réponse cinglante du président à vie: "qu'il crève !". On est quelque fois beaucoup trop naïf !



J'admire pour ma part le courage du peuple tunisien qui s'est soulevé contre l'injustice en prenant les armes. Il n'y a de toute façon que ce langage qui est possible face à des régimes de terreur et de privation de liberté. J'ai moi-même été dans ce pays alors que j'avais 18 ans et j'en ai gardé de précieux souvenirs avec des habitants très gentils. La question maintenant est de savoir si la révolution n'a pas été volée par des gens qui sont pareilles au fond. Bref, j'ai beaucoup aimé cette bd qui a le courage de montrer les choses telles qu'elles sont ou qu'elles auraient pu être avec toute la crédibilité qui soit. C'est une oeuvre à lire absolument ! Bravo à l'auteur !
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Sidi Bouzid Kids

Superbe rencontre d'un scénariste et d'un dessinatreur pour retracer avec brio et clarté la révolutions tunisienne.

BD dévorée à toute allure, au rythme du récit. Non ce n'est pas la réalité, mais c'est clair, étayé sur le réel sans prétendre à aucun témoignage, reportage. Percutant et passionnant.



Véritable performance graphique depuis la couverture (la cape-drapeau d'un rouge éclatant !) . Une palette chromatique , des jeux de lumière, des visages ciselés, des contre-plongées qui donnent de la force au texte et du rythme. C'est vif et percutant, tonique comme cette révolution tunisienne.



Et puis j'ai apprécié que l'auteur ait fait des choix et les assume. Bravo pour la postface qui replace les faits dans la réalité.



Et j'espère bien que M. Talamba produira bientôt d'autres aussi belles BD !



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Sidi Bouzid Kids

Cet album, malheureusement trop vite lu, retrace l'origine du printemps arabe en Tunisie. Et cela fait dix ans que tout ceci a commencé, et pourtant c'est déjà lointain, semble-t-il. Les évènements sont troubles et flous, et j'avoue ne pas trop savoir les tenants et aboutissants de cette fameuse révolution.



Ici, la BD raconte de manière très factuelle les faits (légèrement romancés sans doute) du lancement de ce mouvement de révolte de grande ampleur qui fit tomber le gouvernement de Ben Ali. Ce qui m'a surpris, réellement, c'est le fait de base de tout ceci, presque anodin : un marchand qui s'immole après avoir vu ses marchandises être saisies par la police. De ce simple "fait divers", la grogne monte et la colère éclate.

La BD retrace, au regard de simples gens mais aussi un peu de Ben Ali et sa famille, semble-t-il très à l'aise dans son gouvernement autoritaire et corrompu, le déroulé des jours. C'est une BD vite lue et qui se contente de tracer les grandes lignes des évènements, mais en peu de pages on sent tout l'impact du déroulé. Il y a quelques petites phrases qui font mouche à la lecture, mais c'est globalement une lecture rapide, et c'est trop peu pour moi qui adore les développements.

Mais c'est le parti pris des auteurs et je peux le comprendre. La BD est sortie peu de temps après les évènements, et c'est simplement un rappel de ce qui s'est passé. En ce sens, la BD est très réussie et permet de mieux comprendre comment le Maghreb s'est enflammé en quelques mois.



Bref, la BD n'est pas parfaite, elle aurait mérité plus de développements selon moi, mais elle remplit très bien son office et sera contenter ceux qui cherchent à retracer l'origine du mouvement Tunisien du Printemps arabe. Une découverte sympathique, au graphisme qui corresponds assez bien d'ailleurs. J'ai beaucoup aimé la lecture !
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Sidi Bouzid Kids

Cet album publié chez Casterman (KSTR) raconte la récente révolution tunisienne… telle que les Occidentaux aimeraient qu’elle se soit déroulée: une poignée de jeunes Tunisiens, épris de liberté et inspirés par les idéaux de la révolution française, renverse le tyran Ben Ali grâce à Facebook et Twitter. Pas besoin d’être abonné au «Monde diplomatique» pour deviner que ce récit est cousu de fil blanc, le décalque presque parfait des journaux télévisés servis par TF1 ou France 2.



Sans être aussi réactionnaire ou conservateur que Nietzsche, ennemi de tout ce qui fait bouger la société, on peut affirmer que cette manière de raconter le processus révolutionnaire est la plus débile possible. Elle fait fi de l’histoire ; or l’histoire est le seul terrain où les tyrans ne dominent pas les peuples. L’historien doit toujours lutter contre la légende dorée. Shakespeare contre la légende médiévale arthurienne, Marx contre les contes pour enfants des Républiques libérales à base de grand architecte de l'univers, etc.



En l’occurrence, la légende dorée en filigrane de cette BD est celle de la révolution bourgeoise et de la souveraineté populaire/droit des peuples à disposer d’eux-mêmes.



L’idée que le régime bourgeois libéral constitue un progrès, dont nous, Occidentaux, bénéficions, tandis que le reste du monde demeure largement soumis à la tyrannie est une idéologie : - primo, contestée par bon nombre d’historiens ; - deuxio, d’une arrogance sous-jacente à l’entreprise colonialiste ou impérialiste depuis le XVIIe siècle, dont les émeutes contre Ben Ali, et le renversement de son gouvernement ne sont qu’un épisode sanglant parmi d’autres. Non pas une "avancée", mais une "secousse".



La «souveraineté populaire», du moins dans son dispositif électoral moderne, est une invention occidentale, inculquée comme le catéchisme au reste du monde. C’est-à-dire que, comme certains athées arguent que dieu demeure obstinément invisible, on peut aussi bien en dire autant de la démocratie. En réalité, ne tarde-t-elle pas aussi à se montrer, ailleurs que dans les discours ronflants des politiciens, ou dans le désir inassouvi du peuple tunisien d’être libéré de son joug ? La formule englobe tous les eldorados et les edens truqués depuis que la religion existe : "la possibilité d'un île", dit untel.



On constate que cette promesse de démocratie réelle consolide aussi bien l’ordre public tyrannique, qu’elle joue un rôle dans le déclenchement de la rébellion ou de la révolution.



L’histoire nous enseigne en outre que c’est exactement le rôle que «dieu» a pu jouer sur le plan social auparavant – le plus souvent mis au service de l’ordre public, parfois brandi «a contrario» comme un argument révolutionnaire, y compris par certains artisans de la Révolutionnaires de 1789. De même, encore aujourd'hui, Allah et la révolution sont confondus dans les revendications de certains révolutionnaires musulmans. Ajouter "allah" est même sans doute une façon de dire pour les Maghrébins qu'ils ne copient pas l'Occident.



L’idée de démocratie moderne n’a rien à voir avec Platon : elle est entièrement tributaire de la façon dont dieu a été défini par le clergé dans l’Occident moderne. Platon émet des hypothèses pour 200.000 Athéniens.



La démocratie n’est donc qu’une version laïcisée ou populiste de dieu. «Populiste», dans la mesure où les élites des nations dites «démocratiques» agissent sciemment à l'écart, ou en dépit des principes égalitaires ou de fraternité requis.



Bien qu’il ne perçoive pas tout le profit pour l’élite d’une telle métamorphose du dieu de l’ancien régime en démocratie, ou le caractère inévitable de cette métamorphose, Nietzsche a raison de ne voir dans ce processus qu’un simple désordre, et non un progrès. L’idée de progrès est martelée par la propagande libérale, à laquelle cet album de BD sur la révolution tunisienne contribue, sans que ses auteurs aient fait le moindre effort de synthèse, écrivant un récit aussi naïf que les images d'Epinal sur Jeanne d'Arc ou Napoléon.



Michèle Alliot-Marie joue dans cette BD le rôle de la méchante Occidentale conservatrice, de mèche avec le tyran Ben Ali : ce procédé manichéen permet d’éviter de poser le problème dans les termes réels où il se pose, depuis le début de l’aventure coloniale : à savoir, non pas de l’intérêt privé de ladite Alliot-Marie, exécutante de basses-œuvres parmi tant d’autres, voire de Ben Ali, mais en termes d’intérêt pour la société civile française dans son ensemble, luttant pour le maintien de l’influence de la France en Afrique.



Que font aujourd’hui les troupes françaises au Mali, mandatées par un gouvernement de gauche, si ce n’est rétablir l’ordre à la demande du gouvernement malien, répondant à une sollicitation que Mme Alliot-Marie n’a pas eu le temps de satisfaire en Tunisie ? Ce qu’il faut remarquer, puisque l’ingérence coloniale sous divers prétexte n’est pas un fait nouveau, c'est qu'elle obéit à une tactique extrêmement hasardeuse, la plus propice à installer le chaos et la zizanie, en lieu et place de la liberté rêvée ou promise. Un plan de pénétration-retrait. Ce que la BD rappelle quand même, c'est que l'intervention française, si elle avait eu lieu, sous une forme ou une autre, aurait été justifiée par la lutte contre le terrorisme par le régime de Ben Ali. Ainsi que la répression à l'aide de snipers qui fut brièvement mise en place. Le régime de Ben Ali est tombé pour des raisons économiques. As usual. Il est tombé très vite de n'avoir pas pris la mesure de son extrême faiblesse économique.



Sans doute la meilleure raison de faire du reportage en BD est pour inverser ce type de discours simpliste, véhiculé par «Sidi Bouzid Kids», qui prend surtout ses lecteurs pour des "kids", répétant ce qu’on entend dans les journaux télévisés, et qui est conçu pour entraver le moins la digestion du téléspectateur.



Deux ou trois dépêches recopiées des journaux en fin d’album, sont plus intéressantes que le scénario précédent, mis en image par Alex Tambala, dessinateur roumain, dont je ne nie pas l’habileté.



Notamment l’une de ces dépêches suggère que le suicide de Mohamed Bouazizi, qui s’immola par le feu en décembre 2010 après avoir été giflé par une policière, pourrait n’être qu’une légende. C’est-à-dire l’immolation, avérée, mais la cause du suicide demeurant mystérieuse. Ce genre d’anecdote ou de détail, de même que la perversité de l’épouse de Ben Ali, sont montés en épingle pour deux raisons : d’abord parce que la propagande se nourrit de détails, et consiste à focaliser l’attention du public dessus, ensuite parce qu’il est flatteur et confortable pour l’homme de croire que tel ou tel peut peser par une action, isolée ou collective, sur le cours des événements : ce qui revient à une conception climatique ou phénoménologique de l’histoire, dépassée depuis des milliers d’années… au moins depuis Homère.
Lien : http://fanzine.hautetfort.co..
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Sidi Bouzid Kids

Ayant vécu en Tunisie beaucoup de petit détail dans cette B.D me l'on rappelé, cette B.D est très bien faite mais bien trop courte.

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Pandora beach

L'histoire sous-jacente à celle des jeunes aventuriers d'un pays ressemblant à uen Europe post-crise est merveilleusement dépeinte.
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Sidi Bouzid Kids

Un document fiction en bande dessinée très réussi.
Lien : http://www.auracan.com/album..
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Pandora beach

Un couple qui a su se trouver et qui signe un très bon premier tome. On a hâte d'en connaitre la suite.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Sidi Bouzid Kids



SIDI BOUZID KIDS



Cette histoire m’a vraiment touché parce que c’est tiré d’une histoire vraie et c’est vraiment émouvant. Le peuple Tunisien souffre à cause du président Ben Ali.

Le peuple veut que Ben Ali parte pour que le peuple Tunisien vive tranquille et libre .

Foued est attachant parce qu’il est vraiment fidèle à ses amis et il va jusqu’au bout de ses idées, j’ai aimé ce livre parce que c’est tiré d’une vraie histoire et il est bien. Je le conseillerais à tous les jeunes et les arabes. C’est un livre triste, attachant et qui restera dans ma mémoire.

Bagiev

Younous

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Sidi Bouzid Kids

Alex Talamba publie ici son premier livre en France. Dynamique et efficace, son trait rend sans fioriture la crudité des faits et son découpage tendu la tension vécue durant ces journées de révolution. Du bon travail.
Lien : http://www.actuabd.com/Sidi-..
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Sidi Bouzid Kids

Le dessinateur, Alex Talamba, dont c’est le premier album, a effectué un travail sobre, dynamique, au service de ce qui est raconté.
Lien : http://www.bdgest.com/critiq..
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