La frontière est étroite entre le bonheur et le malheur, entre l’aisance et la pauvreté, entre la chaleur d’un foyer aimant et la petite chambre glaciale de la solitude. Si l’on trébuche, si l’on tombe, si l’on n’est pas assez conscient de sa chance, on est susceptible de passer de l’autre côté.