"Tu ne peux pas continuer comme ça", lui répète l'assistant social du CPAS quand il vient sur le parking du Batta. Jérôme lui répond que c'est vrai, qu'il a raison, qu'il ne veut pas continuer comme ça toute sa vie, qu'il doit se bouger, qu'il n'a que vingt-cinq ans et a l'impression d'en avoir cinquante. Son corps est déjà vieux et son cerveau est en béton. Le silence de sa vie est assourdissant. (p.19)