Parce que les larmes sont une fenêtre sur mon âme et que j'ai préféré laisser les volets fermés. Je ne veux pas les laisser sortir. Elles sont un peu mon chemin de croix. Je les laisse s'accumuler comme un lac souterrain. Ça me fait du bien de savoir qu'elles sont là, qu'elles m'appartiennent toujours.