Créatures d'argile, vaines habitantes de la poussière,
solitaires, nous errons comme le nuage, le vent, la vague,
Ni la volonté de l'homme, ni le sang, ni la naissance, ni la mort
Peut élever une âme au ciel, seul l'amour, la nouvelle création,
et tout ce que nous voyons est une ombre de choses invisibles, et le temps qui vient s'enfuir n'est que l'écho brisé d'une rime
Dans la grande épopée du cœur de l'Éternité.
Insouciant et aveugle à la lumière gaspillée de la Sagesse !