Voilà où nous vivons… tous. Dans le pavillon psychiatrique. Sans issue… sans refuge. Félicitez-vous de ne pas être mateur, monsieur. Félicitez-vous de ne jamais voir que l’extérieur de l’homme. Félicitez-vous de ne jamais voir les passions, les haines, les jalousies, la malveillance, les maladies… Félicitez-vous de rarement voir la terrifiante vérité chez les gens. Le monde sera un endroit merveilleux quand tout le monde sera mateur et que tout le monde se sera adapté… Mais d’ici-là, félicitez-vous d’être aveugle.