Elle aurait pu instagrammer ces petits déjeuners féeriques qui dégoulinaient de parentalité positive mais elle détestait ses stories frelatées, ses récits qui occultaient le cadre : les cris tout sauf bienveillants sur sa progéniture, les taches sur le chemisier, l'hyperactivité de l'enfant, le désordre permanent, l'abattement de 18 heures, le regret d'être mère.