Le temps n'était plus où Venise renvoyait l'image d'une République dont les principes moraux étaient le socle.La corruption et la dépravation des mœurs ne cessaient d'empirer .mal récurrent sans espoir de guérison , le marchandage de voix pour les élections faisait toujours le bonheur des pauvres qui vendaient les leurs aux riches, tous les patriciens étant égaux devant le Grand Conseil.