![Djinn, tome 4 : Le Trésor par Mirallès Djinn, tome 4 : Le Trésor](/couv/sm_cvt_Djinn-tome-4--Le-Tresor_557.jpg)
Le trésor marque la fin du cycle ottoman, ou plutôt annonce déjà le démarrage d’un nouvelle période. Si Le tatouage nous avait laissé espérer un dénouement intense et explosif, cette espérance reste hélas lettre morte.
Le scénario privilégie ici la voie du surnaturel. Il faudra donc faire preuve d’une grande ouverture d’esprit pour accepter les événements qui vont concerner Kim. Elle n’est d’ailleurs pas la seule à être impactée. Certains personnages vont connaître une évolution originale. L’originalité ne parvenant pas à masquer une sortie assez commode, pour certains d'entre eux du moins. Quelques surprises viennent toutefois nous surprendre de manière agréable.
Autant le reconnaître l’album est sauvé grâce au travail de la dessinatrice qui atteint ici des sommets. Si le cap de la maturité avait été franchi avec le dernier album, nous constatons qu’ici, celui-ci est dépassé. Certains personnages (notamment les figures masculines) gagnent en précision.
La phase contemporaine du récit prend, pour la première fois, le pas sur les événements d’avant Guerre. Le renversement se fait au moment où un monde s’éteint. Certains épisodes relatés ici marquent les esprits (la libération du harem). Merci Madame Mirallès.
Avec un scénario qui peut décevoir les plus cartésien(ne)s, le trésor se révèle être une histoire de transition, une invitation à un autre voyage que l’on va entreprendre avec plaisir, malgré quelques appréhensions...
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Ce tome de Djinn est un épisode de transition tout comme dans l'histoire avec un grand H. C'est la fin du monde Ottoman. Le sultan libère d'ailleurs toutes les femmes de son Harem. Cet album qui mène au cycle africain est différent des autres. En effet, les personnages vont vivre une aventure à la Indiana Jones avec un surprise de taille à l'arrivée.
Les dessins sont sublimes et sont encore plus beaux que dans les précédents tomes.
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Ce quatrième tome est le dernier du cycle 1. Du coup, on finit sur une fin à suspense qui m’a bien donné l’envie de lire le cycle 2. J’ai beaucoup aimé ce tom plein de mystère. Nos personnages atteignent enfin le trésor mais ce n’est pas exactement ce qu’ils pensaient. De plus, c’est une bande-dessinée joliment historique je trouve.
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Un tome qui semble être fait pour créer du lien avec le suivant et intriguer le lecteur, mais qui n'apporte pas grand chose. Je ressors dubitative de cette lecture, comme si je m'étais faite embobiner par ces magnifiques dessins alors que l'intrigue ne mène nulle part. De plus, les raccourcis sont nombreux et les allers retours dans le temps aussi ce qui apporte de la confusion. Je suppose qu'il faudra une vue d'ensemble de tous les tomes pour comprendre, mais à ce stade j'ai le sentiment qu'on me fait un peu tourner en bourrique.
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La fin du cycle ottoman de Djinn. Je n’ai au final que modérément apprécié cette série érotique au cœur des harems turcs. Malgré quelques bonnes idées comme celle de lier les destins de Kim et de Jade à des époques différentes et malgré tout le talent de la dessinatrice dont j’aime particulièrement le travail, je pense qu’il me sera difficile de continuer à suivre les aventures des Djinns. La faute à une histoire un peu fade qui ne m’a pas vraiment emballé. Ce quatrième tome et à mon avis d’ailleurs, le moins bon de la série.
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Entre le verre et le cristal !
Ana Mirallès est une illustratrice et dessinatrice de BD espagnole née en 59, qui travaille régulièrement avec son compatriote et compagnon Emilio Ruiz. Ensemble ils ont signé l'album érotico-pornographique 'Corps à corps' (1991), après quoi elle a fait paraître durant ces mêmes années 90, la trilogie 'Eva Medusa' avec la collaboration d'Antonio Segura, puis à nouveau avec son compagnon Emilio Ruiz, le triptyque 'A la recherche de la licorne'. Mais ce n'est qu'en 2001 que celle qui sait si bien éveiller et entretenir nos fantasmes, et pour une fois les femmes devraient y trouver leur compte, a vraiment cartonné grâce à la formidable série 'Djinn' scénarisée par le Français Jean Dufaux. Et tout en continuant de travailler sur 'Djinn', elle a lancé en 2011 une toute nouvelle série, avec Emilio Ruiz, 'Murraqqa'', dont l'action se déroule à la cour de l'empereur moghol Jahangir au XVII° siècle.
'Djinn' est une saga qui comprend, à l'heure actuelle, 3 cycles :
- Le cycle ottoman de 4 volumes + 1 artbook
- Le cycle africain de 5 volumes + 1 artbook
- Le cycle indien qui comprend pour le moment 1 volume
Ce coffret en très épais carton, qui nous vaut sur la couverture, le dos et le quatrième de couverture une superbe fresque érotique, comprend le tome 4 du premier cycle + 1 artbook + une double page cartonnée noire avec deux dessins pleine page en couleur à l'intérieur (extraits de l'artbook) + 1 port-folio qui se présente sous la forme d'une enveloppe blanche en carton épais contenant 6 splendides aquarelles érotiques sur un beau papier blanc d'une certaine épaisseur.
De nos jours (plus ou moins), une jeune britannique, Kim Nelson, se rend à Istanbul dans l'espoir de pouvoir s'y informer sur sa grand-mère, Jade, qu'elle n'a pas connue, mais qui fut la favorite du Sultan Murati dans les années qui précédèrent la première guerre mondiale. A partir de là, nous avons droit en parallèle à l'histoire de Kim comme à celle de Jade :
Au départ à Istanbul en 1912, le Sultan Murati donne carte blanche à sa favorite, la superbe Jade, aussi cruelle que splendide, pour qu'elle s'emploie à séduire Lord Nelson, un attaché de l'ambassade de la Couronne britannique. Dans un premier temps, Jade s'applique à enjôler la jeune et naïve Lady Nelson et en fait son esclave sexuelle...
Dans le deuxième tome, Jade fait subir à Lady Nelson le supplice des 30 clochettes qui devrait mener celle-ci dans les bras du Sultan ; mais l'époux de la belle Lady veille, pénètre dans le harem et tente de faire s'en échapper sa femme...
Dans le troisième tome, Jade se retrouve dans les bras de Lord Nelson : comme le Sultan a enlevé à celui-ci son épouse, que le dit Anglais n'a su retrouver dans le dédale du gynécée du Sultan, Lord Nelson a finalement enlevé la favorite du maître des lieux et s'est enfui avec elle...
Dans le quatrième et dernier tome, c'est la fin de l'Empire : le Sultan noir libère ses oiseaux et ses femmes (dans cet ordre-là !) ; Jade, qui lui était revenue, après le décès des Nelson, s'est vue confier une dernière mission : conduire les Allemands, les nouveaux alliés du Sultan, jusqu'à son mythique trésor, enfoui quelque part dans les sables du désert...
Au départ également et à Istanbul toujours, mais de nos jours, un homme d'affaires ruiné, Amin Doman, se greffe sur les recherches qu'effectue Kim ; il tient absolument à s'emparer du trésor caché et jamais retrouvé du Sultan noir (le surnom de Murati). Heureusement pour Kim, un jeune et bel ange gardien, Ibram Malek, veille sur elle...
Dans le deuxième tome, Kim réussit, avec l'aide de Malek, à arriver, quelque part dans les montagnes, jusqu'au nid d'aigle d'Ebu Sarki, le seul homme qui puisse lui en apprendre plus sur sa grand-mère ; mais elle aussi doit subir l'épreuve des 30 clochettes avant que de pouvoir approcher l'homme qui, dans sa forteresse de Morta Sala, perpétue l'ancienne tradition des harems et y reçoit, à l'occasion, de très riches clients, qui paient des fortunes pour venir assouvir leurs fantasmes les plus secrets dans son gynécée...
Dans le troisième tome, Kim, pour sauver Malek, fait prisonnier et mis à mal par Ebru Sarki, accepte de se donner aux invités de celui-ci...
Dans le quatrième et dernier tome, Kim, possédée par l'esprit -le djinn- de sa grand-mère, conduit à son tour Amin Doman et ses hommes sur les traces du trésor jamais retrouvé du Sultan noir...
Plus l'artbook qui conclut le premier cycle : un texte de Jean Dufaux qui raconte la genèse et l'évolution de la saga illustré de nombreux croquis et autres crayonnés, dessins préparatoires et magnifiques aquarelles finales en N&B et en couleur pour prolonger le plaisir.
'Djinn - le premier cycle' est une fresque sur la fin d'une époque, celle des derniers Sultans et de leurs mythiques harems, qui furent autant des lieux de complots, voire de crimes que de séduction. Et c'est bien sûr aussi une réflexion sur les jeux de pouvoir : qui, du maître ou de l'esclave le détient : le corps de la Femme restera toujours le pouvoir suprême devant lequel l'Homme ne pourra s'empêcher de plier. 'Djinn' est une porte ouverte sur les fantasmes, un caillou dans les eaux dormantes de nos libidos. Et si vous preniez un peu de ce puissant aphrodisiaque ?
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Quatrième tome de Djinn et dernier du Cycle ottoman, cet album termine l’histoire entreprise par Miss Nelson sur son aïeule en quête d’un trésor qu’elle souhaite retrouver. La recherche dans le désert est violente pour les personnages qui tournent autour du personnage principal pour finalement nous rendre compte qu’il ne se trouve peut-être pas là où on le pense. L’histoire paraît un peu nébuleuse et certaines scènes sont complètement chaotiques. Le scénario est bizarrement fait au détriment d’une compréhension générale. Seule la chute paraît irréelle, Miss Nelson s’étant obliger à parcourir l’univers du harem pour pas grand chose et qui lui serait arrivé presque avec autant de facilité.
Le graphisme retrace toujours aussi bien l’ambiance du désert, de la politique du siècle dernier, et des coucheries, mais il faut reconnaître que le niveau n’est pas à la hauteur de la couverture qui en revanche elle est franchement magnifique. L’art de ces albums résident dans leur apparence extérieure. C’est beau, envoûtant, sensuel…
En somme, ce tome est assez décevant et l’ensemble de ce premier cycle ne semble pas à la hauteur du succès de cette série.
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L'histoire se poursuit avec ce quatrième tome. Les atouts de la série sont toujours présents à savoir le graphisme et la mise en couleur toujours aussi bons. Le cycle se déroule au milieu d'un harem ottoman. Le cors des femmes y est donc magnifié sans jamais tomber dans le vulgaire. La trame historique est très intéressante.
Ce tome laisse place à l'aventure. Il débute sous les meilleurs auspices avec cette recherche du trésor et ce temple au milieu du désert. Par contre, cette sorte de mirage sous forme de succursale de banque suisse n'est pas à mon goût. Cela gâche l'ambiance jusqu'ici magique de l'album et clôt ce cycle en queue de poisson. Dommage !
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"Ah.. C'est tout ?!"
Voilà ce que je me suis dit en refermant ce tome.
Cette seconde période - période africaine - parle de magie noire, d'animisme, de la domination de l'envahisseur blanc sur le peuple noir et sa volonté de s'enrichir de ce que la terre africaine a à offrir. Au détriment des locaux bien sûr ! Mais, les tribus se rebellent - sinon comment faire une histoire direz-vous...
Le graphisme est plus travaillé que dans les précédent et le récit plus "engagé" (le terme est un peu excessif, d'où les guillemets) dans le sens où il met en scène la sauvagerie du soit disant homme civilisé.
Tout ça ne m'a pas vraiment transportée ...
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Les portes étroites et les espaces infinis !
Ana Mirallès est une illustratrice et dessinatrice de BD espagnole née en 59, qui travaille régulièrement avec son compatriote et compagnon Emilio Ruiz. Ensemble ils ont signé l’album érotico-pornographique ‘Corps à corps’ (1991), après quoi elle a fait paraître durant ces mêmes années 90, la trilogie ‘Eva Medusa’ avec la collaboration d’Antonio Segura, puis à nouveau avec son compagnon Emilio Ruiz, le triptyque ‘A la recherche de la licorne’. Mais ce n’est qu’en 2001 que celle qui sait si bien éveiller et entretenir nos fantasmes, et pour une fois les femmes devraient y trouver leur compte, a vraiment cartonné grâce à la formidable série ‘Djinn’ scénarisée par le Français Jean Dufaux. Et tout en continuant de travailler sur ‘Djinn’, elle a lancé en 2011 une toute nouvelle série, avec Emilio Ruiz, ‘Murraqqa’’, dont l’action se déroule à la cour de l’empereur moghol Jahangir au XVII° siècle.
‘Djinn’ est une saga qui comprend, à l’heure actuelle, 3 cycles :
- Le cycle ottoman de 4 volumes + 1 artbook
- Le cycle africain de 5 volumes + 1 artbook
- Le cycle indien qui comprend pour le moment 1 volume
‘Djinn 5 : Africa’ (2005) - 46 pages en couleur directe (ce qui nous vaut de belles aquarelles) :
Nous retrouvons Lord et Lady Nelson et Jade et leur enfant après guerre. Riches du trésor du Sultan noir, ils entament un tour du monde qui les conduit, dans un premier temps, en Afrique noire. Jade y est très vite remarquée : elle porte à l’oreille une perle noire qui est en fait celle d’Anaktu, la déesse des fièvres, volée autrefois par les hommes du Sultan. Ce que Jade ignore, c’est que les Orushi, les anciens disciples d’Anaktu, ont pris le sentier de la guerre, avec pour objectif de chasser définitivement les blancs qu’ils massacrent allégrement. Persuadés que Jade est la réincarnation de leur déesse, les Orushi l’enlèvent…
‘Djinn - le deuxième cycle’ est une fresque sur la fin d’une autre époque, celle des colonies. Et c’est bien sûr aussi une nouvelle réflexion sur les jeux de pouvoir : qui, du colonisateur ou du colonisé, le détient, d’autant plus que c’est le corps de la Femme qui restera toujours le pouvoir suprême devant lequel l’Homme ne pourra s’empêcher de plier. ‘Djinn’ est une porte ouverte sur les fantasmes, un caillou dans les eaux dormantes de nos libidos. Et si vous preniez un peu de ce puissant aphrodisiaque ?
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Africa marque le démarrage d'un nouveau cycle consacré à l'Afrique centrale. L'ambiance est autre et ce n'est pas pour me déplaire (la fin du précédent cycle m'ayant déçu).
Jade vit avec les Nelson. Ils forment un ménage à trois.
Le trio part en Afrique centrale pour une nouvelle contrée riche en mystères et en rites. Le récit évoque la colonisation et la magie noire. Où qu'elle soit Jade incarne, par sa beauté et ses possessions, un mythe.
Ce tome ne parle pas de Kim. Et ainsi, le lecteur n'est plus sujet aux allées et venue dans un passé et présent parfois confuses.
Les scènes érotiques se font plus rares mais l'ambiance sensuelle reste agréable. Le graphisme est plus travaillé. Le récit me semble davantage construit et rythmé. Ainsi, il me tarde de découvrir la suite.
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Nouveau lieu autre style. La Djinn se retrouve en Afrique cette fois. Plus de bons dans le temps entre présent et passé. On suit uniquement l'aventure de Jade. C'est plus sérieux, on s'y perd moins et c'est agréable. On perd le côté "sexualité débridée" des 4 tomes précédents, mais le niveau est rehaussé.
Commenter  J’apprécie         40 ![Djinn, tome 5 : Africa par Mirallès Djinn, tome 5 : Africa](/couv/sm_cvt_Djinn-tome-5--Africa_2963.jpg)
ce tome lance le cycle Afrique de l'histoire de Jade, Lady et Lord Nelson. il est étrange cependant qu'on nous annonce que leur périple a avant celà fait une escale en Inde mais qu'on ne nous racontera le voyage indien qu'après le cycle Afrique. bref, les temporalités sont encore mêlées, entre le temps de 3 héros et la quête de Kim qui a aussi été en inde avant de faire ce voyage africain. l'origine de cette aventure, c'est une perle noire dérobée par un explorateur portugais qui a atterri on ne sait comment dans le trésor du sultant et que JAde porte à l'oreille sur un marché, boucle d'oreille qui était l'ornement de la statue d'une déesse africaine dont Jade de ce fait est vue comme la nouvelle incarnation. Vous suivez ? oui c'est un peu capilotracté, mais on fait ce qu'on peut pour lier les 2 cycles. Ce qui m'a frappé, c'est la facilité de Jade à passer de Djinn et femme de harem à déesse africaine (elle est aussi devenue moins orientale de tein et de cheveux, durant le voyage). Pur le reste, c'est un tome de transition, donc l'histoire encore une fois avance assez peu, on a ajouté des fièvres, des envoutements ....
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Nouveau cycle, nouvelle ambiance… Mirallès excelle à nouveau pour illustrer cette fois-ci les paysages et l'ambiance africaine mais également les affres du colonialisme qui est le principal thème de cet album. Il n'y a pas de flash back dans ce récit, Dufaux se concentrant sur Jade qui va faire face à une terrible tribu qui conte bouter les blancs du continent africain.
Très bon volume rempli de surprises et qui se termine sur une fin qui donne immédiatement envie de lire la suite…
Mon album (7è édition) contient un carnet collector d'aquarelles des dessins intimes d'Ana Mirallès…magnifique
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Tome 5 de la série Djinn, premier tome du cycle Africain, après les 4 du cycle ottoman.
On retrouve les 3 personnages issus de la période début du XXème siècle, maintenant sous la forme "ménage à trois", qui, ma foi, a l'air de bien leur convenir, donc autant de ne pas leur jeter la pierre.
C'est une autre pierre, précieuse celle-ci, qui va déclencher les évènements au cœur de ce cycle, celle pendue à l'oreille de Jade, qui attire les convoitises d'une tribu africaine, bien inquiétante dans ce livre. Ce tome se termine, l'histoire est bien plantée, et nous sommes très inquiets. Les prochains tomes vont nous rassurer, je l'espère.
L'ambiance sensuelle est agréable, ce tome là ne nous sert pas vraiment d'érotisme comme c'était le cas dans le cycle ottoman, mais je garde espoir pour la suite :) !
Pour moi, cette série est très réussie, c'est ce que j'apprécie dans les BD, une bonne histoire, un dessin, un style bien léchés, c'est très agréable.
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