Chapitre 5 :
Camille
«… - À Tokyo.
OK...
- Et... du coup... après les fêtes, tu repars là-bas ? insisté-je.
Il sourit, rétorque :
- Oui, Camille, je repars ! Tu seras bientôt débarrassée de moi !
- Ce ne'st pas ce que j'ai dit !
- Non, mais tu le penses ! Mais ne t'inquiète pas, d'ici là, je saurai me tenir !
- Comment ça ?
- Je ne t'approcherai pas plus que nécessaire !
Il se penche, plante ses iris dans les miens.
Des iris aussi noirs que la nuit.
- À moins que tu ne le désires...
Quoi ?
J'en reste sans voix.
Quel mufle ! … »