La prospérité, tout le monde ici peut l’avoir : les gens n’ont qu’à se lever matin et à cultiver leur terre. Le sol est bon par ici. Tu lui donnes du blé et de l’avoine et il te les remets au centuple. Il n’y a pas une cimenterie qui fait ça. Voilà ce que j’appelle la prospérité. On n’est pas des gens de la ville. Notre avenir, ce n’est pas l’industrie, c’est l’agriculture, l’élevage et l’amélioration des troupeaux !