La médecine nazie telle que je l'ai vue pratiquée n'était, je le répète, qu'un trompe-l'oeil : elle visait d'une part à massacrer les déportés, d'autre part, à prendre ses précautions pour pouvoir, après la victoire allemande escomptée, montrer des dossiers bien en ordre établissant que les malades avaient été correctement soignés.