Dans cette guerre, les services policiers français font le travail allemand. Les exceptions, que l'on peut compter sur les doigts de la main, sont individuelles. Il faudra attendre l'après-débarquement de juin 44 pour que quelques brigades de gendarmerie s'ingénient à protéger des Résistants.
Cela explique que la vengeance s'exercera souvent à l'encontre des policiers français dont il faut bien dire qu'ils furent plus efficaces que les Allemands dans la répression...