J’hésitai un moment, puis avouai : « Il n’y avait pas de cave pleine de vins dans cette ville balte dont j’ai parlé. Juste une caisse de bouteilles. J’ai bu avec les bidasses pour oublier que nous avions piétiné les visages des cadavres. Depuis, je n’ai pas trouvé d’autre moyen d’oublier…