Le 15 mai 1777, château des d’Abeline.
Mon tendre et aimé Gabriel, mon époux…
Que puis-je mettre sur cette lettre à part tout cet amour pour toi qui me submerge et que je t’envoie. Que puis-je mettre d’autre si ce n’est ma peine immense et cette colère qui m’a prise quand j’ai compris que tu m’avais abandonnée. Je t’en ai voulu, je t’ai détesté et je t’ai aimé plus encore.
Si tu m’avais fait part de tes projets, je serais venue avec toi.