Naïma semble fière du nombre, ou bien d’en être. Peut-être que pour elle, c’est rassurant, un peu comme faire partie d’un club ou d’une bande. Moi, je suis plutôt du genre à vouloir vivre dans une cabane avec la forêt dans mon dos, la petite maison dans la prairie. Ce n’est pas la solitude mais plutôt la multitude qui m’effraie.