[...] Quand tu vois les mannequins d’aujourd’hui, 1,80 mètre, quarante kilos, qui font la gueule avec leurs yeux cernés, leur coiffure en pétard, leurs genoux cagneux et leurs pieds en dedans montés sur des échasses, tu te dis qu’à cette époque les couturiers ne cherchaient pas à dégoûter les hétéros des femmes. J’aime bien les femmes en robe. C’est frais… aérien… mystérieux… Mais c’est rare.