Mon père … discutait beaucoup. Il se disait anarchiste. En fait, il ne l'était pas réellement, mais il aimait à se définir ainsi. A la maison, on lisait « Libération » (l'ancien), « L'Humanité » et « Ce soir » (qui était à l'époque le quotidien du soir communiste) et parfois, « Le Canard enchaîné ». Ainsi au travers des journaux et des discussions avec mon père, j'ai eu mes premières notions politiques.
3066 – [J'ai lu n° D53, p. 7]