Il est seul dans la maison ouverte aux quatre vents. On dirait qu’elle se tient en un lieu désert, battu par les tempêtes. Les portes se balancent dans le vide, accrochés à leurs gonds, les fenêtres sont cassées et toute trace de vie est effacée, meubles, lumières et couleurs. La maison est sombre, inquiétante, morte. Les murs nus et glacés ruissellent, comme s’ils versaient des larmes.