De La Nuit juste avant les forêts, il faudrait parler comme d’une pièce creusée dans une langue que n’épuiserait jamais rien, au cœur d’une durée affranchie de son terme, don d’une présence enfin, qu’aucun espace ne saurait circonscrire – hors le corps même, le corps proféré d’un théâtre faisant violence à l’acte de lecture.